Une échelle globale, score général, peut être également calculée. Pour considérer qu'un enfant soit doué intellectuellement, il semble convenu qu'un quotient intellectuel de 130 à l'échelle globale est nécessaire. Les enfants dont le QI excéderait 130 représenteraient environ 2% de la population.
La douance intellectuelle se définit traditionnellement par des aptitudes intellectuelles supérieures à la norme. Alors que la moyenne de quotient intellectuelle (QI) se situe entre 85 et 115, le QI d'un enfant doué se situe communément à 130 et au-delà2, mais peut être considéré à partir de 120 selon les auteurs.
Les adultes qui vivent avec une douance (adultes surdoués) se disent eux-mêmes hypersensibles. Ils absorbent les émotions des autres et perçoivent leurs pensées. Ils sont intensément affectés par l'ambiance d'un lieu. Ils savent intuitivement.
Être surdoué associe un très haut niveau de ressources intellectuelles, une intelligence hors normes, d'immenses capacités de compréhension, d'analyse, de mémorisation ET une sensibilité, une émotivité, une réceptivité affective, une perception des cinq sens, une clairvoyance dont l'ampleur et l'intensité envahissent ...
La pensée en arborescence est une forme de pensée qu'on retrouve couramment chez les personnes à Haut Potentiel (HPI et HPE). Les personnes à Haut Potentiel peuvent souvent activer simultanément plusieurs branches de leur pensée arborescente : leurs pensées se développent dans plusieurs directions en même temps.
Le test de QI proprement dit dure 1h30 et commence par la manipulation de cubes. Il faut, avec une poignée de dés rouges et blancs, reproduire les dessins géométriques présentés sur des dessins. Viennent des épreuves de vocabulaire, de mémoire des chiffres et des images.
Les personnes HPI ont un cerveau plus volumineux et plus puissant, en moyenne, que le reste de la population. Mais le plus important pourrait résider dans la force de certaines connexions neuronales qui améliorent le « dialogue » entre différentes régions du cerveau.
Conclusion : haut potentiel, zèbre, surdoué, etc. : pas de différence ! Vous l'aurez compris, toutes ces expressions désignent la même personne. C'est d'ailleurs pour ça que des fois vous pourrez trouver des « mix » entre elles : un zèbre surdoué, un surdoué atypique, un zèbre laminaire, etc.
Inorganisé, écriture illisible (surtout les garçons), manque de soins des cahiers, géométrie approximative. Une faible estime de soi Liée à la non connaissance de sa différence et de son fonctionnement, « hors norme cherchant à rentrer dans la norme » ou différence connue mais pas acceptée.
En effet, un zèbre n'a pas des pensées foisonnantes qui partent dans n'importe quels sens, mais plutôt des pensées par associations d'idées, inspirées, guidées, sur différents plans, différents aspects, différents niveaux…et c'est en cela que son fonctionnement est très intéressant.
En gros l'avantage des surdoués, c'est qu'ils réfléchissent vite et bien. Un zèbre est une personne visionnaire, capable de déceler des tendances et des besoins. Ce sont également des salariés qui cernent très vite leurs collègues et les aspirations qui guident les uns et les autres.
Les personnes HPE sont le plus souvent hypersensibles émotionnellement, avec une gamme d'émotions ressenties plus variées et plus intenses que la moyenne ; elles sont pourtant en mesure de les vivre sans être envahies et en tirant le meilleur pour leur vie sociale.
1. Jonathan - QI moyen de 80.
Les personnes qui en sont pourvues font preuve d'une incroyable capacité à réfléchir et à approfondir les questions existentielles. Le spécialiste indique que « La réflexion peut, par exemple, partir de soi et s'élargir à la condition humaine, au sens de la vie ou à la signification d'une œuvre ».
Être zèbre est un autre terme pour Haut Potentiel, HP, surdoué ou précoce. Jeanne Siaud-Facchin a introduit ce terme car les zèbres sont difficilement apprivoisables, ils se fondent dans le décor tout en se distinguant de ce décor par des caractéristiques propres à chacun d'eux (leurs rayures)...
Une spécificité que l'on ne retrouve donc pas nécessairement chez l'hypersensible. En effet, les hypersensibles, contrairement aux hauts potentiels, ont plutôt tendance à avoir une pensée neurotypique et plus linéaire. Ils n'ont pas accès à une pensée en arborescence comme c'est le cas pour les surdoués.
Là où il existe une réelle différence entre HPI et HPE, c'est sur le plan plus spécifique de l'estime de soi : alors que les HPI se développent généralement avec une estime de soi faible, les HPE manifestent un amour de soi solide et résistant face aux épreuves de la vie.
Conseil n°1 : Reconnaître et accepter la surdouance
Les surdoués ont le sentiment de ne pas avoir leur place dans la société, d'être trop différent. De ce fait, ils ne parviennent pas à accepter leur surdouance dans leur quotidien. Pour vivre heureux avec son haut potentiel, accepter votre différence vous aidera.
Dans le plus souvent des cas, les HP se reconnaissent entre eux. Il n'est pas rare de voir une personne HP rentrer plus facilement en contact, et ce, de façon intuitive, avec une personne qui est également un haut potentiel.
L'homme étant par nature, qu'il soit zèbre ou non, un animal social, il est vraiment tellement bon de s'entourer et de pouvoir partager enfin sur soi. Des années d'incompréhension et de sentiments d'être à part ou incompris doivent absolument être oubliées ou du moins déchargées émotionnellement.
Solène, elle, a finalement décidé de continuer l'escrime. Un sport qui lui permet de gagner en concentration et en précision. "Les enfants précoces n'ont pas toujours une très grande motricité. Bouger leur permet de développer leur mobilité, d'apprendre à se mouvoir plus facilement, ajoute Anne Gramond.
La rencontre amoureuse entre surdoués ou avec un surdoué est généralement mouvementée. Certains zèbres peuvent se montrer mal à l'aise avec les personnes qu'ils ne connaissent pas. S'il est facilement intimidé par les autres, il ne fera pas le premier pas, souvent par peur du ridicule.