Dans votre lettre, concentrez-vous sur le fait que vous êtes désolé, sans chercher à justifier votre comportement. Évitez les phrases comme : « Je m'excuse pour mon comportement, mais j'étais très stressé. » Dites plutôt : « Je suis désolé pour mon comportement et pour la façon dont je vous ai traité.
J'ai été nul(le) et ne pensais pas une seule seconde ce que je t'ai dit, c'est pourquoi je regrette amèrement. Je t'aime plus que tout. S'excuser d'une maladresse, une gaffe : [Prénom], je suis désolé(e) pour mon énorme maladresse tout à l'heure, j'ai vraiment honte.
Dire: «J'ai honte de ce que j'ai dit» ou «je suis triste de t'avoir blessé» peut dissiper la tension liée à la situation. Il est important également de faire comprendre à l'autre que l'on comprend l'avoir blessé. Rassurez la personne en lui disant que vous avez retenu la leçon et que cela ne se reproduira plus.
Les excuses ne reposent pas sur votre culpabilité, votre honte ou votre anxiété, mais sur ce que l'autre personne a vécu. Soyez patiente. Laissez la personne exprimer ce qu'elle ressent, écoutez-la en silence. Donnez-lui le temps de digérer vos excuses : cela peut être très long, si l'offense est profonde.
Essayez plutôt de dire : "Je suis désolé(e), je n'aurais pas dû te parler comme ça, te faire cela, je regrette ce que j'ai dit ou ce que j'ai fait…". Enfin, pour cette psychologue, il convient de "donner une certaine solennité à la demande de pardon si l'affaire est publique".
Ou : Excusez-moi, je n'ai pas compris! Quand on a fait du mal, de la peine à quelqu'un : Je te/vous demande pardon. Je ne voulais pas te faire du mal/de la peine.
« Je suis vraiment désolé », « Je regrette tellement »… Exprimer ses remords clairement, sincèrement si possible, est le point de départ incontournable. Dans l'ensemble, nous avons plutôt tendance à nous lancer d'entrée dans des explications qui résonnent désagréablement comme une auto-absolution.
D'autres phrases pour présenter les excuses poliment : Je vous prie de bien vouloir excuser mon absence. Je vous remercie d'avance de l'attention que vous porterez à mon excuse. J'ai conscience d'avoir mal agi et vous présente mes plus sincères excuses pour ce manquement.
Je te promets d'être honnête à partir de maintenant. » « Je suis désolée de t'avoir parlé de cette façon. Je n'aurais jamais dû tenir ces propos envers toi. Je ferai désormais en sorte que tu saches chaque fois que je n'apprécie pas quelque chose plutôt que de garder cela et de m'enflammer de la sorte. »
Les mots à employer
Soit on "présente ses excuses", soit on "prie d'être pardonné", mais une faute de grammaire en préambule serait d'un très mauvais effet. On peut aussi tout simplement opter pour un "je suis vraiment désolé" ou "je suis vraiment navré", peut-être plus faciles à dire.
Regardez-la dans les yeux et dites-lui d'une voix calme et sérieuse : « OK, ça suffit maintenant, je sais que tu crois que c'est drôle, mais ça m'énerve, je voudrais que tu t'arrêtes ». Si elle ne s'arrête pas tout de suite, vous pourriez lui dire : « je te demande sérieusement de t'arrêter » avant de partir.
Pour pardonner, il faut accepter de nommer et de regarder sa réalité en pleine face, sans faux-fuyants. Car au bout de l'exercice, c'est vous qui devez trouver un soulagement dans la décision que vous allez prendre. Qu'elle soit de rompre enfin avec votre mari, ou de poursuivre votre chemin avec lui malgré la faute.
Changez vos pensées pour passer d'un état de rancune à un état de reconnaissance. Il est vrai que la rancune ne vous fait du mal qu'à vous-même, parce que c'est vous qui ressentez des émotions négatives envers une autre personne. Pour combattre ce sentiment de rancune, remplacez-le par un sentiment de reconnaissance.
Conseils à l'entourage. Une personne qui refuse de pardonner n'est pas prête, dans un premier temps, à écouter. La seule phrase à lui dire, que vous soyez le témoin ou l'objet de son ressentiment, c'est : « Je comprends. » Rappelez-lui aussi que la discussion mérite d'être reprise plus tard.
Dans votre lettre, concentrez-vous sur le fait que vous êtes désolé, sans chercher à justifier votre comportement. Évitez les phrases comme : « Je m'excuse pour mon comportement, mais j'étais très stressé. » Dites plutôt : « Je suis désolé pour mon comportement et pour la façon dont je vous ai traité.
S'excuser a un côté plus raisonné et moins émotif que de pardonner. On trouve et expose des motifs qui expliquent et justifient son geste. On essaie d'atténuer les conséquences de l'acte posé.
[Chère/Cher] [ami(e)/prénom], Après quelque temps de silence, je voulais te dire que je te pardonne. Depuis [ces trois mois/ces quelques semaines/autre], je ne cesse de repenser à notre dispute. Je ne te cache pas que la haine, la rancune et de nombreux sentiments violents ont consumé mon âme.
Après avoir réfléchi aux raisons de votre mensonge, dialoguez avec la personne que vous avez blessée. Soyez le plus honnête possible, car il n'y a rien de pire que d'additionner les mensonges. C'est un cercle vicieux dont il est difficile de se dépêtrer. Expliquez sincèrement et calmement pourquoi vous avez menti.
Dans les deux cas, les excuses ont été visionnées par d'autre volontaires. Résultat ? Dans deux études sur six les volontaires ont jugé les excuses plus sincères lorsque la personne se met à genoux, et dans quatre études sur six lorsqu'elle pleure. Que ce soit en public ou en privé.
Mon comportement insensé était un malheureux accident, mais mon amitié pour toi ne l'est pas. Dire que l'on regrette est facile. J'espère que tu sauras être plus sage que moi, et que tu sauras me pardonner. Je suis sincèrement désolé.
“S'excuser, c'est une forme d'aveu de faiblesse dans l'esprit de certains, c'est se rabaisser à l'autre et reconnaître d'une certaine manière sa propre impuissance”, décrypte Maïté Tranzer*, psychologue clinicienne à Paris. Ne pas s'excuser est alors un moyen de montrer de l'assurance, de se sentir fort.