Si vous injectez une ampoule de sérum physiologique par narine, qui ressortira de l'autre narine, il en partira également dans l'arrière gorge, votre bébé crachera donc ses glaires.
Vous pouvez dans un premier temps nettoyer ses narines à l'aide d'une compresse de gaze stérile, puis lui laver le nez régulièrement avec une solution physiologique, vendue sous forme de spray ou pipette en pharmacie. Cela l'aidera à évacuer ses glaires naturellement.
Inspirez profondément par le nez. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois, pour faire décoller les sécrétions ; la seconde fois, pour faire monter les sécrétions dans votre gorge. Crachez les sécrétions dans un mouchoir.
Le produit le plus simple à utiliser si votre bébé a le nez bouché c'est le sérum physiologique. Choisissez-le en nébuliseur ou en pipette unidose, il sera bien stérile. Si votre bébé est tout petit, qu'il a moins de 6 mois, le seul produit à utiliser chez un nourrisson en cas de nez bouché est le sérum physiologique.
Il peut arriver que bébé en avale une partie ce qui n'est pas grave car le sérum physiologique n'est pas toxique.
Comme le mucus au niveau de la bouche, les glaires produisent un inconfort au niveau des narines de bébé. Une situation qui peut s'accompagner de petits problèmes respiratoires, de toux et d'insomnie.
La maladie est souvent provoquée par la fumée du tabac, due au tabagisme actif ou passif et “tend à être sous diagnostiquée et elle peut engager le pronostic vital”, alerte l'OMS. Les malades s'étouffent progressivement dans leur mucus, qu'ils produisent en trop grande quantité.
Des glaires en quantité importante dans le nez et la gorge et qui durent dans le temps peuvent aussi cacher une sinusite chronique. Dans la majorité des cas, elles ont une couleur jaunâtre-verdâtre mais parfois, elles restent transparentes. Seul un scanner des sinus peut alors confirmer la sinusite chronique.
Après la naissance, votre bébé peut être gêné par des remontées gastriques, « les glaires » de naissance. En effet, sa motricité digestive est immature, et le contenu de son estomac remonte facilement. Parfois, il le crache, toussote, pleure… parfois, il ne fait que ravaler sans cracher.
C'est vers 3 mois que l'enfant va aussi respirer par la bouche, explique le Dr Pfersdorff : « Vers 3 mois, la respiration buccale est mise en place.
La toux grasse se manifeste par l'expectoration de glaires et crachats qui s'accumulent dans les voies respiratoires. Comme elle intervient souvent dans le cadre d'une infection virale ou bactérienne, la toux peut s'accompagner d'écoulements nasaux et de maux de tête.
Consistance du mucus
une consistance mousseuse témoigne de maladies comme la pneumonie et un reflux œsophagien ; une consistance très liquide peut être causée par une inflammation : sans infection (allergie, asthme) ; ou avec infections (sinusite, rhume, grippe).
Mélanger 10 g de feuilles de lierre, 15 g de bouillon-blanc, 10 g de thym, 15 g de feuilles de mauve, 10 g de racines de guimauve, 10 g de racines de réglisse. Verser une cuillère à café de ce mélange dans une tasse d'eau bouillante et laisser infuser 10 min, plusieurs fois par jour.
Principe d'action de l'oignon contre la toux
L'oignon est constitué de composés sulfurés : Ceux-ci sont anti-inflammatoires et anti-infectieux. Ils vont également favoriser l'expulsion du mucus et les expectorations en fluidifiant les sécrétions, un peu à la manière des produits médicamenteux fluidifiants.
Un oignon sous le lit contre le rhume chez l'enfant
Quand un enfant a le nez encombré ou qu'il commence à tousser, je vous conseille donc de peler un oignon, de le couper en quatre, de le déposer sur une assiette et de déposer l'assiette sous son lit (ou au pied de son lit si ce n'est pas possible).
Si la toux est accompagnée de douleurs ou de fièvre, le médecin pourra vous prescrire un médicament anti-douleur comme le Paracétamol (Dafalgan, Panadol, etc.). ou un anti-inflammatoire comme l'ibuprofen (Irfen, Agifor, etc.).
En cas d'obstruction partielle des voies respiratoires, un peu d'air parvient jusqu'aux poumons, mais l'enfant a de la difficulté à respirer, tousse et a parfois une respiration sifflante.
Chez le nourrisson, les symptômes de fausse route sont moins francs, notamment chez le nouveau né : pleurs, cris peu intenses, agitation continue, yeux écarquillés, bébé qui devient tout rouge, hyperproduction de salive, etc. Parfois le nouveau-né tousse, ce qui peut entrainer une régurgitation (via le nez notamment).
Il n'existe pas de traitement spécifique pour soigner la bronchiolite. Les antibiotiques sont inutiles car elle est due à un virus. Les antitussifs sont inutiles, voire contre indiqués. Pour protéger vos autres enfants, lavez-vous régulièrement les mains.
Pour calmer une quinte de toux nocturne, surtout si elle est rauque ou aboyante (ce qui suggère une laryngite), vous pouvez faire sortir votre enfant à l'extérieur s'il fait froid pendant environ 15 minutes. Vous pouvez aussi l'emmener à la salle de bains.
Les fluidifiants bronchiques les plus utilisés sont notamment l'acétylcystéine, la bromhéxine, la carbocistéine, l'ambroxol, l'erdostéine, la terpine, la guaïfénésine, etc.