Le coma éthylique est une intoxication aiguë à l'alcool qui se caractérise par un endormissement et une perte de connaissance. Ce coma survient lorsqu'une quantité importante d'alcool est consommée dans un laps de temps assez court, perturbant le système nerveux central et le rendant incapable de fonctionner.
Les signes de coma éthylique, hors perte de conscience, sont une respiration irrégulière, une incapacité à bouger, une perte du tonus musculaire (hypotonie musculaire), une chute de la tension artérielle et de la température corporelle, et la peau froide et moite.
On situe en général le risque de coma éthylique lorsque le taux varie entre 2 à 4 grammes d'alcool par litre de sang.
Le calage entraîne souvent des intoxications très graves. Et, lorsque le taux d'alcoolémie atteint ou dépasse 400 mg d'alcool par 100 ml de sang (communément appelé . 40), il peut provoquer le coma éthylique et même la mort.
Symptômes de la stupeur et du coma. La conscience est altérée à divers degrés. Les personnes présentant une stupeur sont en général inconscientes, mais elles peuvent être réveillées en les stimulant vigoureusement. Les personnes dans le coma sont inconscientes, les yeux fermés, et ne peuvent pas en être tirées.
Coma urémique (stade terminal d'insuffisance rénale chronique) ; Coma myxoedémateux et de l' hyperthyroïdie ; Coma hypercapnique ; Coma hépatique : l'encéphalopathie hépatique se voit lors des hépatites graves.
« Il faut parler à une personne dans le coma » entend-on dans les films. Tout dépend de ce qu'on appelle coma. Entre l'état végétatif, où le patient peut encore sourire ou sursauter de façon réflexe, et l'état de conscience minimale où il entend ce qu'on lui dit, la frontière est ténue.
Prendre une douche froide, boire du café, faire de l'exercice, prendre de l'aspirine... Certaines personnes ont recours à ces différentes méthodes pour faire rapidement baisser leur taux d'alcoolémie, après avoir bu un ou plusieurs verres d'alcool.
Le risque de coma éthylique est particulièrement important lorsqu'une quantité d'alcool comprise entre 2 et 4 grammes par litre de sang est consommée rapidement. L'ivresse peut-elle être mortelle? Oui, indirectement.
Même une consommation d'alcool excessive à une seule occasion stimule la muqueuse gastrique. La muqueuse peut être alors irritée au point de provoquer des nausées et une contraction de l'estomac, qui aboutissent à des vomissements.
Quoi qu'il en soit, «plus on est resté longtemps dans le coma, moins grande est la chance de réveil», souligne Andrea Rossetti. «Nous n'avons aucun argument pour dire qu'une personne dans le coma rêve, dit Andrea Rossetti. D'autant que le rêve est un état physiologique, alors que le coma n'en est pas un.»
C'est une situation d'urgence. Couchez votre ami sur le côté en position latérale de sécurité et appelez les secours pour demander de l'aide (18 ou 112). Enfin, si vous savez que votre ami a trop bu et même s'il dit qu'il peut assurer quand même, découragez-le de prendre le volant ou même son vélo.
Le coma éthylique peut facilement être évité en appliquant quelques conseils simples : éviter de boire trop et trop rapidement, manger, alterner avec des boissons non-alcoolisées.
Une carence en glucose entraîne des perturbations et un fonctionnement anormal du cerveau. Voilà pourquoi, dans les heures suivant la prise d'alcool, ceux qui ont trop bu ressentent de la faiblesse, de la fatigue, des vertiges, de l'anxiété, de l'accablement, des difficultés de concentration, des troubles visuels, etc.
Que faire si une personne fait un coma éthylique ? La première chose à faire est d'appeler les secours : le Samu au 15, les Pompiers au 18 ou le numéro d'appel unique des urgences au 112. En attendant leur arrivée, vérifiez que la personne respire correctement : assurez vous que sa bouche et son nez sont dégagés.
Faux. Boire beaucoup d'eau ou diluer l'alcool dans les jus de fruits ne fait pas consommer moins d'alcool. De même, manger en buvant permet bien de ralentir l'assimilation de l'alcool, mais là aussi, les unités d'alcool ingérées restent bien entendu identiques.
"Vomir est un mécanisme de défense: le corps réagit à une intoxication à l'alcool. Mais vomir ne réduit en rien l'alcoolémie." Inutile, donc, de se faire vomir: ce n'est pas parce que le liquide est ressorti que l'alcool n'a pas passé dans le sang, bien au contraire.
Qu'il s'agisse d'une bière, d'un verre de vin ou un verre de whisky, un verre représente la même quantité d'alcool. Un verre d'alcool correspond à un taux de 0,2g/L à 0,25g/L en plus. On considère que 0,8g/L correspond à 3 verres.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
Mettre le foie au repos et de l'aider à évacuer toutes les toxines est alors salutaire. Pour ce grand nettoyage, ayez le réflexe de boire toute la journée de l'eau (Hépar) avec un jus de citron frais. Éviter pendant cette période le café, le sucre, les œufs, les charcuteries, les graisses et surtout l'alcool.
La durée d'un coma est variable, il peut durer entre quelques heures et plusieurs années, mais plus il est long plus les risques sont importants.
Le coma correspond à une abolition de la conscience et de la vigilance. Le patient ne peut ni bouger, ni parler, ne répond pas aux stimuli externes, ne réagit pas à son environnement et garde les yeux fermés. Cet état est directement lié à un dysfonctionnement du système nerveux central.
L'état végétatif.
Après le coma, certains patients donnent l'impression de s'éveiller : ils ont les yeux ouverts et des cycles veille-sommeil normaux. Pourtant, ils ne réagissent à aucune sollicitation. Un état qui peut durer des années.