Dans quelques cas, il est possible d'améliorer la forme du crâne avec des techniques simples comme un meulage de certaines bosses, l'injection de graisse appartenant au sujet ou, dans des cas plus importants, la mise en place d'un implant pour rétablir une rondeur et une symétrie.
Malheureusement, le seul traitement connu de la plagiocéphalie chez l'adulte est la chirurgie, et peu de chirurgiens sont disposés à pratiquer l'intervention. Comme on pense généralement qu'il s'agit d'un problème esthétique et que les risques et les coûts associés à la chirurgie l'emportent sur les avantages.
La base du crâne se développe à partir du tissu cartilagineux vers l'os solide à proprement dit. C'est un processus qui commence au début de la grossesse et qui n'est pas encore terminé au moment de la naissance. Mais il y a encore du cartilage articulaire qui maintient la flexibilité du crâne.
Du mot « trépan », nom de l'instrument utilisé à l'origine pour ce geste, la trépanation consiste à percer la boîte crânienne d'un trou circulaire. Il ne s'agit pas d'une intervention chirurgicale en soi mais d'un geste chirurgical indispensable dans certaines opérations nécessitant d'atteindre le cerveau.
Les cranioplasties peuvent être réalisées avec le volet du patient préalablement congelé ou mis en nourrice dans la graisse de la paroi abdominale (cranioplastie autologue) ou avec du matériel synthétique (cranioplastie hétérologue).
Le geste d'ouverture du crâne s'appelle « craniotomie » quelle que soit la taille de l'ouverture. Le neurochirurgien dispose de deux techniques, une ouverture limitée, communément appelée « trou de trépan » et une ouverture large, communément appelée « craniotomie ».
Une intervention neurochirurgicale peut avoir différents effets secondaires : Des effets liés à l'anesthésie générale : fatigue, difficultés pour parler ou respirer ; Des complications communes à toute intervention chirurgicale : infection de la zone opérée, hématome dans la zone opérée ou entre les méninges.
L'os pariétal peut subir une déformation considérable et irréversible par bandage du crâne depuis l'âge de nourrisson jusqu'à la fin de l'adolescence. Cette coutume, principalement dictée par des motifs esthétiques, est détectable sur les squelettes d'Asie centrale du I er siècle.
Le neurochirurgien incise le cuir chevelu après un repérage précis par neuronavigation, le plus souvent sans raser les cheveux. Il découpe une partie de l'os du crâne (volet osseux). L'incision des méninges qui enveloppent le cerveau permet l'accès à la tumeur. L'intervention se fait le plus souvent sous microscope.
Les fractures du crâne peuvent survenir avec ou sans lésion cérébrale. Les symptômes peuvent comprendre la douleur, des symptômes de lésion cérébrale et, avec certaines fractures, des fuites de liquide par le nez ou les oreilles, et des ecchymoses derrière les oreilles ou autour des yeux.
Dans quelques cas, il est possible d'améliorer la forme du crâne avec des techniques simples comme un meulage de certaines bosses, l'injection de graisse appartenant au sujet ou, dans des cas plus importants, la mise en place d'un implant pour rétablir une rondeur et une symétrie.
La voûte crânienne est la partie la plus supérieure du crâne. Elle est située au-dessus de la base du crâne et du massif facial. Elle est convexe et lisse. Sur le plan embryologique, elle dérive du neurocrâne membraneux dont l'ossification de membrane débute à la neuvième semaine.
Depuis qu'on fait dormir les bébés sur le dos (pour éviter la mort subite du nouveau-né), cette tendance au crâne plat est fréquent et se remet en place tout seul une fois la position assise acquise ainsi que le retournement spontané du bébé.
A la naissance, les os du crâne d'un bébé ne sont pas solidifiés les uns aux autres, il est donc plus facile de les déformer. Une grossesse multiple, un surpoids de la mère, un manque de liquide amniotique ou un accouchement précipité peuvent être à l'origine d'une plagiocéphalie.
La tête plate apparaît habituellement vers l'âge de 2 mois. Pour prévenir l'aplatissement du crâne, assurez-vous que la tête de votre bébé n'est pas toujours appuyée du même côté, et ce, dès sa naissance. Si vous remarquez que votre bébé a la tête plate, prenez rendez-vous avec son médecin.
Les bons gestes à adopter : Pour l'alimentation, alternez la position et donnez à manger des deux côtés (bras gauche, bras droit) Favoriser le temps d'éveil sur le ventre (toujours sous surveillance d'un parent,) On pose le bébé sur une surface dure et sans objet pouvant gêner la respiration ou présenter un danger.
Le neurochirurgien et l'orthopédie. Il opère le cerveau, la moelle épinière, les nerfs, le rachis… C'est le neurochirurgien !
La craniotomie peut être pratiquée dans différentes situations ou pathologies nécessitant d'accéder au cerveau, ou de créer une ouverture afin de libérer la pression intracrânienne. Elle peut donc être réalisée : pour retirer chirurgicalement certaines tumeurs cérébrales.
La survie médiane sans évolution de ce cancer est d'environ 12,8 mois s'il a été traité par chimiothérapie seulement et elle peut aller jusqu'à 5 ans si on a associé une chimiothérapie à une radiothérapie. La survie médiane varie de 7 à 24 semaines. La survie varie selon l'emplacement de la tumeur primitive.
La déformation la plus courante est liée à la suture des os au niveau de la sagittale. Le crâne ne peut pas grandir dans la largeur, se déforme en s'allongeant et en formant une bosse sur le front ou à l'arrière du crâne. C'est la scaphocéphalie. Il y a aussi la trigonocéphalie, liée à une suture précoce sur le front.
Le traitement est chirurgical, par l'excision des zones cutanées les plus plissées et remise en tension du scalp. Chaque cas étant unique le Docteur Victor Médard de Chardon adapte les schémas de résection en fonction de la localisation et de l'importance des plis.
Définition. La maladie osseuse de Paget (ostéite déformante hypertrophique) est une affection osseuse caractérisée par une augmentation récurrente de la résorption osseuse, qui entraîne une formation osseuse excessive et, du même coup, l'affaiblissement et la déformation des os et l'augmentation de la masse osseuse.
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer (NCI, 2012). Seule une association avec l'augmentation du risque de maladies cardiovasculaires a été mise en évidence (Kivimäki, 2012).
Le glioblastome est la tumeur la plus agressive de la famille des gliomes. Elle est également appelée Gliome de stade IV.
Les cancers du cerveau sont relativement rares, mais ils sont souvent mortels. Les tumeurs malignes cérébrales les plus courantes sont les gliomes, dans lesquels des cellules appelées cellules névrogliques (cellules de soutien des cellules nerveuses) deviennent cancéreuses.