Dans ce cas, un bain ou une douche chaude peut la soulager. Il est aussi possible d'effectuer de légers massages et des assouplissements pour atténuer la douleur. Les compresses froides et les coussins chauffants peuvent aussi se révéler efficaces pour soulager la douleur.
L'arnica : la meilleure alliée contre les douleurs musculaires. Reconnue pour ses propriétés antalgiques, l'arnica est une plante recommandée dans le traitement des douleurs musculaires. Elle a, en effet, une action décontractante et relaxante. Elle a également des bénéfices anti-inflammatoires.
Le Thiocolchicoside (relaxant musculaire) et les benzodiazépines figurent parmi les décontracturants musculaires les plus prescrits en médecine du sport.
Les feuilles du cassis renferment des antioxydants appelés "flavonoïdes". Ce sont des anti-inflammatoires naturels puissants. "Le cassis est un super-aliment qui est capable de soulager les rhumatismes, comme l'arthrite et l'arthrose", indique Philippe Chavanne.
Pour soulager la douleur et assouplir le muscle avant de détendre la contracture, vous pouvez étirer la zone en question. Des mouvements de rotation et de haussement des épaules, le rapprochement des omoplates, les roulades sur le dos et chaque position qui étire la zone douloureuse peuvent vous faire du bien.
Quand faut-il consulter ? Une douleur aiguë, évoluant depuis moins de 15 jours, constitue un problème diagnostique et thérapeutique urgent. Une douleur subaiguë ou chronique laisse le temps à des investigations.
De nombreuses origines peuvent être en cause comme une contusion, un traumatisme, un faux mouvement entraînant un torticolis ou un lumbago ou encore certaines pathologies infectieuses comme la grippe, les hépatites, la poliomyélite ou d'autres pathologies neurologiques.
Le risque de crampe augmente suivant plusieurs facteurs : la déshydratation par exemple, le surentraînement, le manque d'échauffement préalable ou un échauffement trop rapide, un faux mouvement, une compression des muscles, etc. Elles apparaissent plus fréquemment par temps froid.
On classe les médicaments antidouleur, appelés antalgiques, selon l'intensité douloureuse qu'ils sont censés soulager : les médicaments du palier 1 sont utilisés pour traiter des douleurs d'intensité faible : ce sont par exemple le paracétamol, l'aspirine ou les anti-inflammatoires classiques.
Pour la contrer et rendre la situation plus confortable, le médicament sans ordonnance Toprec apporte du kétoprofène. Il s'agit d'un anti inflammatoire non stéroïdien (AINS), comme l'ibuprofène qui va stopper le processus à l'origine des douleurs.
Marcher, bouger et masser les jambes aident à calmer ces sensations désagréables. Certains ont remarqué que poser un oreiller lourd sur leurs jambes avait un effet préventif.
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Si vous souffrez de crampes récurrentes ou de contractures musculaires des mollets pendant que vous dormez, une carence en magnésium pourrait en être la cause. La constipation est un autre symptôme qui évoque la possibilité d'une carence en magnésium, tout comme les crampes menstruelles douloureuses.
On ne connaît pas vraiment l'origine de ces douleurs matinales. Une personne qui se surmène physiquement peut ressentir ce phénomène. Mais souvent, au contraire, le manque d'activité physique serait à l'origine du problème. Elles peuvent également être le signe d'une arthrose.
le médecin généraliste peut être consulté lors de douleurs comme les crampes et les courbatures. le physiothérapeute, pour les blessures musculaires ou toutes autres maladies touchant les muscles. le rhumatologue quand les maux sont associés à des problèmes articulaires.
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
En cas de douleurs musculaires diffuses, qu'elles apparaissent au cours de l'effort physique ou sans lien avec un effort physique, il faut évoquer une maladie musculaire générale (« myopathie ») : cela peut être une maladie inflammatoire auto-immune ou une maladie liée à la prise d'un médicament ou à un toxique ou un ...
Les myopathies médicamenteuses sont fréquentes et leur identification importante en raison de leur morbidité potentielle. En dehors des statines, les médicaments les plus souvent impliqués sont les glucocorticoïdes, les antimalariques, la colchicine et les antirétroviraux.
Douleur articulaire:
Une douleur articulaire est ressentie plus souvent lorsque le corps est au repos contrairement à une douleur musculaire où la douleur est ressentie lorsque le corps est en action.
En règle générale, le froid est utilisé pour diminuer la douleur et contrôler l'inflammation alors que la chaleur favorise la guérison, la diminution des tensions musculaires et des raideurs.
La douleur peut nuire à l'endormissement le soir venu, interrompre votre sommeil la nuit et vous réveiller trop tôt le matin. Le manque de sommeil exacerbe la douleur, rendant ainsi le sommeil plus difficile. Un état de grande fatigue peut aussi abaisser votre seuil de tolérance à la douleur pendant le jour.
« La douleur peut faire sortir une personne de son sommeil profond, même si elle ne se réveille pas », a-t-il déclaré. Si la douleur vous empêche de bien dormir, prenez rendez-vous avec votre rhumatologue le plus rapidement possible.
La contracture peut être visible : une bosse, un muscle plus gros qu'habituellement, un peu enflé. En touchant, on peut sentir que c'est dur. La contracture est invalidante mais elle ne s'accompagne d'aucun élément particulier si l'on décidait de réaliser une échographie.
Quelle que soit la cause de la douleur, avec le temps, elle provoque diverses réactions psychologiques : anxiété, insomnie, fatigue, tension nerveuse, repli sur soi, démoralisation, dépression, parfois désintérêt sexuel, etc.