Montrez à votre enfant comment respirer lentement pour se calmer. Demandez-lui de mettre ses mains sur son ventre et d'imaginer un ballon qui se gonfle quand il inspire et qui se dégonfle quand il expire. Répétez l'exercice avec lui jusqu'à ce que vous le sentiez plus calme.
Tu peux lui demander son avis sur une règle avant d'en décider, tu peux aussi décider des règles en accord avec lui (c'est d'ailleurs souvent une très bonne idée), mais au final, c'est bien à toi qu'il revient de faire respecter ces règles, systématiquement.
Chanter une berceuse à votre enfant ou bien lui mettre une petite musique de fond douce et calme l'aideront à se détendre et à s'endormir plus facilement. C'est là une méthode que tous les enfants aiment, surtout quand ils sont petits.
Si l'excitation intervient au moment du coucher, il se peut que la nuit soit source d'angoisse. Un désir d'attirer l'attention, que ce soit à l'école ou à la maison. Un manque de sommeil. Votre enfant a peut-être plus d'énergie que ses camarades.
En restant calme, la situation présente moins d'intérêt pour lui et il se fera plus docile. Si votre enfant est turbulent, demandez-vous si vous lui laissez la possibilité de se poser de temps en temps. Souvent, on rentre de l'école, on fait les devoirs, on prend la douche, on mange, on joue une demi-heure et au lit.
Pour que la punition soit comprise, il faut respecter quelques règles. Tout d'abord, il faut que l'enfant sache que ce qu'il fait est interdit. Aussi, si l'enfant fait une bêtise pour la première fois, il faut commencer par lui expliquer que ce qu'il fait est mal. Si l'enfant récidive, il faut le punir.
évitez les écrans (ordinateur ou télévision) en fin de journée ; 30 minutes avant le coucher, toute activité qui excite doit être bannie. Au contraire, tout doit aider à se calmer (éteignez la télévision, mettez une musique douce, tamisez les lumières, ne parlez pas avec emportement…).
Inspirez profondément par le nez et comptez doucement jusqu'à 4. Retenez votre respiration et comptez jusqu'à 7. Expirez bruyamment par la bouche pendant 8 secondes (comptez). Recommencez jusqu'à ce que vous entriez dans un sommeil profond.
Faites un massage à votre enfant. Ce contact tendre renforce l'attachement et facilite la relaxation. Par exemple, vous pouvez masser doucement la nuque, le front, les tempes ou les pieds de votre tout-petit. Par la suite, votre enfant pourrait aussi vous faire un massage.
Il a envie de faire les choses par lui-même
Toutefois, il est encore maladroit pour certaines tâches et il a souvent besoin de votre aide (ex. : pour s'habiller). Cela peut entraîner des frustrations puisque son envie d'autonomie est plus grande que ce qu'il est capable de faire.
Des experts ont démontré que les enfants de 3 ans piquaient des colères encore plus terribles, et selon des études récentes, elles seraient engendrées par le temps qu'ils passent devant les écrans… Deux ans, l'âge redoutable et redouté par les parents du fait des nombreux caprices que font leurs bambins !
Les crises, une étape normale
La première chose à savoir, c'est que les crises de notre enfant de 3 ans” sont NORMALES ! Oui, il traverse de grands chamboulements où il veut s'autonomiser et s'affirmer et il ne sait pas encore se poser pour gérer ses émotions.
Reflux, poussée dentaire, otite… Dans 20 % des cas, les réveils multiples sont liés à une cause organique qui empêche l'enfant de bien dormir. Toutefois, la plupart du temps, il s'agit de problèmes comportementaux. Comme les adultes, les enfants se réveillent plusieurs fois pendant la nuit.
Une supplémentation en zinc, fer et magnésium pourrait aider à diminuer certains symptômes de l'hyperactivité. Plusieurs études indiquent que les enfants atteints de TDAH souffrent de carences en ces minéraux et qu'une supplémentation durant trois mois peut permettre de réduire des troubles liés à l'hyperactivité.
Si votre enfant est hyperactif, il pourra dépenser son trop-plein d'énergie dans des sports collectifs comme le foot, le handball, le rugby ou le hockey-sur-glace qui demandent de l'effort physique. Les sports individuels comme la boxe sont aussi un très bon défouloir, ainsi que les sports d'équipe comme le cyclisme.
L'exposition à des carence affective, du stress, des infections, de la pauvreté et des traumatismes sont des facteurs qui augmentent le risque de TDAH.
Lors de la « phase du non », entre 2 ans et 3 ans, soyez ferme, mais compréhensif. Encadrez votre enfant et fixez des limites tout en lui donnant du contrôle sur certains aspects de sa vie. Concentrez-vous sur quelques règles importantes afin d'éviter d'être toujours dans la confrontation avec lui.
Il faut s'expliquer et écouter, bref il faut qu'il y ait un échange. Pour se faire obéir des adolescents, il faut parfois punir. Le choix de la punition est important. L'ado doit comprendre ses erreurs mais il ne doit pas se sentir humilié ou encore infantilisé.
Exemples : Réparer ce qu'on a cassé, remettre en place ce qu'on a dérangé, nettoyer ce qu'on a sali. Ou bien supprimer une heure de la prochaine sortie si l'ado est rentré une heure en retard sur l'horaire prévu. Chacun juge de ce qui est important dans le cadre familial.
À retenir. La discipline vise à éliminer les comportements non acceptables d'un enfant, mais surtout à renforcer ses bons comportements. Même si la punition est parfois nécessaire, il ne faut pas l'utiliser trop souvent. Mieux vaut renforcer les bons comportements que de punir les comportements inacceptables.