Elles nous donneront l'effet d'un choc de demande sur l'équilibre. Le prix d'équilibre P∗ résout l'équation d'égalisation de la demande et de l'offre du marché : QD(P∗, a)=QS(P∗, c).
Question 2 : Sur le marché, l'équilibre est défini par l'égalité entre l'offre et la demande : Qd = Qs Il vient donc : 2000 – 100P = 50P P = 13,33 unités monétaires. A ce prix, la quantité échangée est donnée par la fonction d'offre du marché aussi bien que par la fonction de demande.
L'équilibre sur un marché est représenté sur le graphique Prix - Quantité par l'intersection des courbes d'offre et de demande. A partir de l'intersection de ces deux courbes, on trouve le prix d'équilibre et la quantité échangée à l'équilibre.
En concurrence pure et parfaite, le prix est donné par le marché. La recette moyenne du producteur est égale au prix de vente du produit. En effet, la recette totale (RT) est telle que RT (Q) = P x Q, et donc la recette moyenne est égale à : RM(Q) = Rt(Q)Q=P×QQ=P.
Définition : On appelle quantité d'équilibre la quan- tité unique offerte et demandée au prix d'équili- bre.
L'équilibre macroéconomique
Dans l'optique de la dépense, on considère que le produit national est identique au revenu national (Y) et se décompose en consommation (C) et épargne (S), tel que Y = C + S. La condition d'équilibre s'écrit donc : Y = D, soit C + S = C + I, d'où S = I.
Les équilibres peuvent être évalués quantitativement. La constante d'équilibre en termes de concentration, 𝐾 , correspond au produit des concentrations des produits divisé par le produit des concentrations des réactifs, chaque concentration étant élevée à la puissance de son coefficient stœchiométrique respectif.
Pour trouver le prix et la quantité d'équilibre concurrentiel sur le marché, il faut résoudre un système de deux équations — la courbe de demande Q=QD(P) et la courbe d'offre Q=QS(P) — pour P et Q.
Dans la pensée classique, le marché de la monnaie s'équilibre par l'intermédiaire du niveau général des prix (la flexibilité des prix assure l'ajustement). Mais c'est la quantité de monnaie en circulation qui détermine le niveau général des prix.
Un marché est à l'équilibre concurrentiel si tous les acheteurs et vendeurs sont preneurs de prix, et si, au prix en vigueur sur le marché, la quantité offerte est égale à la quantité demandée.
La position que l'entreprise veut prendre face à ses concurrents, les prix qui s'appliquent sur le marché, le profil des clients, les frais engagés pour la commercialisation du produit ou service sont autant d'éléments importants qui permettent de savoir comment fixer ses prix.
Au final, pour être efficient (ne pas gaspiller de temps), le pays doit produire tel que h/200+b/200=1. On a donc le système à deux équations suivant : (1) h=b (2) h/200+b/200=1 Dont la solution est h=b=100 Le pays PED, en autarcie, va donc produire et consommer 100 unités de bien H et 100 unités de bien B.
Si le prix est supérieur au prix d'équilibre, l'offre est excédentaire et le prix doit donc baisser pour retrouver le niveau d'équilibre. Si le prix est en dessous de son prix d'équilibre, il y a une pénurie ou demande excédentaire ce qui fait augmenter le prix jusqu'au prix d'équilibre.
Le prix d'équilibre est celui qui égalise la demande et l'offre. C'est donc celui qui satisfait en même temps les désirs des acheteurs et des vendeurs. Tant que le prix d'équilibre n'est pas atteint, il existe soit une demande, soit une offre excédentaire.
La recette totale tirée de la vente d'une quantité q notée RT(q) correspond au chiffre d'affaire total. RM (q) = RT(q) /q C'est la revenu tiré de la vente de chaque unité (recette unitaire). RM correspond au prix de vente unitaire (RM = P).
Jean-Baptiste Say est considéré comme le principal économiste classique français. Né en 1767, Il est connu pour avoir élaboré la « loi de Say » (ou « loi des débouchés »). Cette loi est essentielle pour les économistes libéraux et peut se résumer ainsi : toute offre crée sa propre demande.
C'est la théorie de l'avantage absolu. Certains pays ont des avantages que d'autres n'ont pas et donc « tant que l'un des pays aura ces avantages et qu'ils manqueront à l'autre, il sera toujours plus avantageux pour celui-ci d'acheter au premier, que de le fabriquer lui-même ».
Sur un marché concurrentiel, le prix est supposé s'ajuster de manière à égaliser l'offre et la demande. Il baisse si l'offre est supérieure à la demande et augmente dans le cas contraire. Le prix n'est donc pas fixé par les agents, mais par le marché. Il s'impose aux agents et guide leurs décisions.
La constante d'équilibre K est une valeur qui nous indique les quantités relatives de réactifs et de produits dans un système à l'équilibre. La constante d'équilibre est spécifique à une certaine réaction à une certaine température.
KP = KC uniquement si les moles de produits gazeux et de réactifs gazeux sont les mêmes (c'est-à-dire Δn = 0) : Selon l'équation ci-dessus, KP = KC uniquement si les moles de produits gazeux et de réactifs gazeux sont identiques (c'est-à-dire, Δn = 0).
q*=qd = qo et p*=pd =po • C'est-à-dire que les quantités demandées sont égales aux quantités offertes et que le prix demandé est égal au prix offert.
Cette idée se retrouve dans la formule mathématique du multiplicateur, k = 1/(1-c), où c désigne la propension marginale à consommer.
La macroéconomie a pour objet l'étude globale de l'économie à partir de grands agrégats (somme des grandeurs économiques de même nature en valeur ou en volume) comme la consommation, la production, l'emploi, le revenu, l'investissement, l'inflation, le taux de chômage, etc.