La teneur en eau d'un matériau est le rapport du poids d'eau contenu dans un échantillon du matériau comparativement au poids du même matériau sec. On définit la teneur en eau comme le poids d'eau par W contenu par unité de poids de matériau sec.
Mode de calcul et formule La teneur en matière sèche est donnée par la relation suivante : [ (m2 – m0) / (m1 – m0) ] x 100 = % de matière sèche Prendre comme résultat la moyenne des déterminations exprimée avec une décimale.
Elle est obtenue, pour un volume donné, par la mesure de la masse d'un échantillon du sol humide (mh [kg]) et la masse de cet échantillon après séchage (md [kg]). Le temps de séchage dépend de la quantité de matériau prélevé. Classiquement, le matériau est séché à 105 oC pendant 24 h heures.
Pour déterminer la teneur en eau, les Services à l'industrie utilisent un humidimètre reposant sur un algorithme unifié de détermination de la teneur en eau du grain (Unified Grain Moisture Algorithm [UGMA]), ou un instrument de transmission dans le proche infrarouge.
Les plantes sont essentiellement constituées d'eau, leur teneur en eau variant de 80 à 95 % de leur poids total. Elles puisent cette eau et les nutriments qui leur sont nécessaires dans les sols par l'intermédiaire de leurs racines dans lesquelles l'eau pénètre par un mécanisme hydrostatique.
L'eau de gâchage des bétons doit étre propre ne doit pas contenir des matiéres en suspension au delà de certaines valeurs : Tolérances réglementaires sont les suivantes : *2g/litre pour les bétons type A et type B . *5g/litre pour les bétons type C .
La teneur en eau est fonction de la porosité et de la perméabilité du sol. Le volume maximal d'eau qu'un sol peut retenir est la "capacité au champ" ou capacité de rétention du sol qui dépend essentiellement de la granulométrie du sol.
La mesure de la teneur en eau d'un sol, d'un granulat ou d'un matériau de façon plus générale est une action des plus courantes en géotechnique et également des plus fondamentales. Cette valeur permet en effet d'exprimer beaucoup d'autres valeurs en les ramenant à une expression de masse sèche.
Puisque 1 m³ d'air pèse environ 1,2 kg, en ajoutant 20 % à la valeur de l'humidité absolue, on obtient la quantité d'eau présente par m³ d'air. Exemple : de l'air à 20°C, 50 % HR, contient 7,36 grammes d'eau par kg, soit 8,7 grammes d'eau par m³.
La teneur minimum d'un produit exprimé en pourcentage correspond au pourcentage massique minimum garantie de ce produit dans la solution.
Calculer la teneur en humidité du sol en soustrayant le poids du sol sec de la masse de la terre humide et en divisant par le poids du sol sec.
La teneur en eau du sol se définit par le pourcentage d'eau contenue dans un sol rapporté au poids du sol sec ou au volume. Cette teneur analytique mesure l'humidité d'eau contenue dans un sol mesurée sur la base d'une analyse volumétrique ou gravimétrique.
La mesure de l'humidité du sol se fait par prélèvement de sol ou à l'aide d'enregistreurs d'humidité implantés dans le sol. Les sondes capacitives permettent une mesure immédiate de l'eau contenue dans le sol, de façon continue et à plusieurs profondeurs du sol dans le système racinaire des plantes.
L'eau liquide à 20 °C a une masse volumique de 1kg/l. Cela signifie qu'un litre d'eau pèse 1 kg.
On appelle facteur de dilution de coefficient k=Ci/Cf=Vf/Vi. Si on reprend l'exemple précédent, le facteur de dilution k=0,10/0,040=2,5 et k=500/200=2,5.
Vous devez tout d'abord calculer le volume en mètres cube. Exemple : Si vous souhaitez recouvrir de gravillons une place avec des mesures de 10 mètres de long sur 5 mètres de large et une épaisseur de 10 centimètres : 10 x 5 x 0.1 = 5 mètres cube. 5 x 1.5 = 7.5 tonnes.
Par la capillarité des pores, le béton absorbe de l'eau et des polluants. Dans l'essai la quantité d'eau absorbée est comparée avec la quantité évaporée (qd). Le béton compte comme étant étanche, si la quantité d'eau évaporée est plus grande que celle qui est absorbée (qw).
Un potomètre, ou transpiromètre, est un instrument, un appareil, un dispositif, qui permet de mesurer le taux d'absorption (la consommation) de l'eau par une plante feuillue par unité de temps. Les causes de l'absorption d'eau sont la photosynthèse et l'évapotranspiration.
Besoins en eau des cultures
L'évapotranspiration d'une culture irriguée (ETc en mm) s'obtient en multipliant l'évapotranspiration de référence (ETo) par un coefficient spécifique à la culture et au stade de croissance (ETc = Kc x ETo).
L'eau puisée dans le sol, pénètre par les racines et transite dans les vaisseaux de la plante vers les feuilles. L'eau est le constituant majeur des plantes. Cependant la plus grande partie de cette eau est transpirée par les feuilles, sous forme de vapeur d'eau au moyen de multiples petits orifices (les stomates).
L'effet de l'argile est le plus important : elle donne un sol visqueux qui retient l'eau et les substances nutritives. Le limon rend le sol glissant. Le sable donne un sol meuble, bien aéré et bien drainé.