Pour s'assurer une bonne hydratation lors de vos sorties running, il faut boire toutes les 10 à 15 minutes environ 100 à 150ml (1 à 2 gorgées). Ne buvez pas trop froid, au risque de vous créer des problèmes gastriques, la boisson doit être fraîche mais pas glacée. La température doit se situer aux alentours de 15°C.
Courir une bouteille d'eau à la main
Ce qui n'est pas sans conséquences sur le risque de blessure. La solution? La ceinture conçue pour porter la bouteille ou les petits bidons (en petit format, le poids est bien réparti autour de la taille).
Pour optimiser votre hydratation pendant la course, il est conseillé de consommer une eau au PH neutre (autour de 7), surtout pas acide, et riche en minéraux, comme l'eau de Courmayeur, qui est distribuée lors des courses Odysséa. Cela permet d'accélérer la vidange de l'estomac et de rester en forme pendant l'effort.
Il faut globalement boire un demi-litre toutes les heures (500 ml), avec une hydratation qui doit être la plus fractionnée possible. L'idéal est de boire « régulièrement tous les 7-8 minutes, par petite gorgées pour optimiser le confort intestinale » décrypte Anthony Berthou.
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Serrez la ceinture afin qu'elle vous entoure la taille de manière assez ajustée. Pas question de courir équipé d'une ceinture d'hydratation rebondissant contre vos jambes. Finalement, il ne vous reste plus qu'à remplir vos bouteilles d'eau fraîche et à vous élancer au pas de course!
Le jour du marathon il suffit alors de préparer des sachets de poudre énergétique de votre boisson favorite (1 sachet = 40g de poudre = 500ml de boisson), et de les mélanger à de l'eau que vous allez prendre sur les ravitaillements, sachant que ces derniers ont lieu tous les 5 kilomètres..
En effet, pendant vos séances de sport, vous perdez de l'eau, via votre transpiration et la respiration. Il faut donc boire suffisamment avant, pendant, et après le sport pour combler les pertes hydriques.
Vous devez boire suffisamment la veille de l'épreuve : au moins 2 litres. Buvez ensuite 300 ml à 500 ml d'eau dans l'heure précédent l'effort. Cela représente 2 verres d'eau. Pour assurer un bon confort digestif, buvez tranquillement par petites gorgées.
Quand vous transpirez en courant, votre corps utilise l'eau pour réguler sa température interne. En d'autres termes, quand vous transpirez, la peau est refroidie par l'évaporation et la température interne adéquate est maintenue.
Les gilets porte-flasque permettent de transporter jusqu'à 800 ml d'eau, une quantité qui vous donnera la possibilité de tenir 1 h 30 sans ravitaillement. Bien souvent équipé d'une poche extensible sur le dos, le gilet porte-flasque vous permet ainsi d'emporter avec vous vos effets personnels.
Un petit bouchon évitera de perdre le liquide. Un bouchon sport offrira un débit moyen et vous permettra d'ouvrir votre gourde d'un simple clic. Enfin, un bouchon de type paille offre un débit plus léger et permet de garder la gourde droite.
Attrapez ensuite la bouteille avec votre main et retroussez le haut de la chaussette sur votre main et la bouteille. Le haut de la bouteille devrait être libre pour que vous puissiez boire et la gourde est bien attachée à votre main grâce à la chaussette.
Courir le marathon en 4h00 demande d'être capable de tenir une allure de 10.6km/h (5min40 au km). Pour pouvoir suivre ce plan d'entrainement, vous devez déjà être capable de courir un semi-marathon en 1h50. Ce plan sur 12 semaines est découpé en 3 cycles.
Les boissons prises pendant l'effort doivent être rapidement absorbées par le corps. Dans ce but, elles doivent être hypotoniques ou isotoniques. Si l'épreuve dure moins d'une heure, boire de l'eau de source, de l'eau du robinet ou une eau minérale suffit.
Ainsi, prendre le premier gel au bout de 45 minutes / 1 heure de course semble opportun. Certains coureurs utilisent un gel énergétique juste avant le début de l'épreuve: c'est une question de préférence, mais avant une course épreuve nous vous recommandons plutôt un petit-déjeuner conséquent, ou un gâteau énergétique.
Il est conseillé de boire environ entre 500 et 300 ml d'eau dans les trois heures qui précèdent l'effort. Encore une fois, espacez les moments d'hydratation et buvez avec parcimonie. A chaque fois, quelques gorgées suffisent.
Privilégiez les jus de fruits : raisin, pomme, abricot, selon vos convenances. N'oubliez pas non plus d'ajouter des antioxydants et alcanisants, naturels si possible, comme le jus de citron par exemple. Il permet aussi un apport important en vitamines C, E et en zinc.
Vous ressentez une douleur soudaine, brutale et qui s'amplifie avec l'effort, dans les pieds, les tibias ou les hanches. Peut-être est-ce une fracture de fatigue, une périostite tibiale, une aponévrosite plantaire, un syndrome de l'essui-glace. Il faut vous arrêter de courir et consulter.
Sur une séance de 30 minutes, vous brûlerez ainsi environ 300Kcal dont la moitié en graisses. Et pendant les 24h qui suivent, le travail de récupération interne est lui aussi si intensif que la dépense calorique au repos augmente carrément de 20%.
15 min de course lente à 65-70% de FCM + 3 x 10 sec de chaque éducatif : montées de genoux, talons-fesses, pas chassés avec récupération marche au retour) + 30 min en endurance et aisance respiratoire à 70-75% de FCM + 5 lignes droites en accélération (retour marché).