L'aboulie peut être symptomatique d'un état pathologique tel que la mélancolie, l'état dépressif ou une addiction comme la toxicomanie. On trouve également des cas d'aboulie qui sont liés à un état de neurasthénie.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Les personnes souffrant de lypémanie ou dépression sévère présentent une humeur dépressive presque toute la journée, presque tous les jours, une tristesse constante voire des pleurs, une fatigue et perte d'énergie, une perte de l'intérêt et du plaisir (elles n'ont plus envie de rien et plus rien ne leur fait plaisir).
Enfin, il n'est pas nécessaire de soigner le surmenage avec un traitement médicamenteux. Avant d'en arriver là, vous pouvez essayer des activités apaisantes comme la sophrologie, la méditation, le qi gong, le yoga ou même la relaxation.
Quand le quotidien s'enlise, que les objectifs deviennent flous et que l'on manque d'entrain, comment retrouver l'envie d'avancer ? En se fixant des objectifs qui nous enthousiasment. Et pour cela, il faut commencer par savoir vraiment ce qui nous motive, au plus profond de nous.
Cela dit, certains spécialistes s'accordent à dire qu'un manque de confiance en soi et qu'une peur de l'échec peuvent être à l'origine de la flemme ! Et c'est simple à comprendre : vous redoutez de ne pas être à la hauteur de la mission, et l'évitez à tout prix.
Si vous voulez renforcer votre volonté, il est important que vous vous fixiez des dates butoirs. Personne ne peut fonctionner sans emploi du temps. Fixez-vous des délais raisonnables et respectez-les. Disons que vous vouliez faire du sport cinq jours par semaine, mais que vous n'en fassiez pas du tout en ce moment.
Un comportement apathique se manifeste par : l'absence d'émotions, de sensations et de désirs ; une perte de motivation et un manque d'initiative ; l'absence d'intérêt vis-à-vis d'autrui.
Isolément, le traitement repose sur la mise en œuvre par un psychiatre, d'un suivi d'activités jusqu'à dissipation du trouble. En psychothérapie, le traitement vise à mettre en évidence et soigner des causes névrotiques plus profondes, à l'origine de ce syndrome.
Vous parlez d'anxiété, de stress, de ruminations (les pensées qui tournent en boucle dans la tête sans trouver de réponse). Ce sont des éléments qui sont très souvent associés à une perte de motivation, avec un "pas envie". La question est donc de savoir quelles sont ces pensées, ainsi que les émotions associées.
De la fatigue accumulée, le changement de saison, des périodes stressantes, des changements qui demandent beaucoup d'adaptation ou de flexibilité… Les raisons peuvent être aussi variées que nombreuses. On se sent dépassée, désintéressée et on ressasse souvent les mêmes idées négatives ou dévalorisantes.
La paresse est génétique, affirment des chercheurs américains. Mais lutter contre permettrait d'assurer un meilleur développement de notre cerveau. Qu'on la nomme fainéantise, indolence ou mollesse, la paresse, cette «habitude de se reposer avant la fatigue» selon Jules Renard, n'a pas bonne presse.
Que faire en étant flemmard ? Rentier, gigolo, essayeur de matelas, ermite, barbier en Afganistan, vendeur de frigos au Groenland (mais ça pourrait changer bientôt), ...
Paresseux. Synon. cossard (pop.), fainéant.
Phytothérapie : le Millepertuis, pour retrouver la joie de vivre.
La timidité, ne pas se faire confiance : Même si vous savez ce que vous voulez et ce qui vous passionne, cela peut parfois être difficile à exprimer aux autres si vous êtes de nature introvertie ou si vous manquez actuellement de confiance en vous.
Une sensation de ne pas être là, des maux de tête récurrents, des douleurs articulaires, une fatigue permanente, des émotions qui s'emballent, des tremblements, une sensation de froid, une incapacité à prendre des décisions.
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
La fatigue émotionnelle au niveau de l'individu
Intérieurement, le sujet fatigué émotionnellement ressent une fatigue chronique au travail, physique et mentale, un sentiment d'être vidé et d'une difficulté à être en relation avec les émotions des autres, ce qui rend le travail de plus en plus difficile.