Commencez la journée avec quelque chose qui vous fait plaisir. Ecouter de la musique ou un podcast, prendre une douche, boire un café, faire une promenade ou du sport. Lorsqu'on commence avec quelque chose qu'on aime le matin, il est plus facile de se lever.
Elle est due à une insuffisance de tyrosine (son précurseur), qui peut être provoquée par des couchers trop tardifs ou un désordre alimentaire : pas assez de protéines (qui fournissent les acides aminés essentiels), ou un excès de sucre, qui fait baisser le taux de tyrosine.
Allez-y en douceur, par paliers. Avancez petit à petit l'heure de votre réveil, 15 minutes plus tôt durant trois jours puis à nouveau 15 minutes et ainsi de suite… C'est le meilleur moyen de tenir votre objectif sans avoir une sensation de grande fatigue à la clé.
Ce sentiment de non-repos peut être dû au stress, au surmenage au travail, à des activités de loisirs trop intenses ou même, à une alimentation déséquilibrée ou insuffisante. Pour savoir d'où vient cette fatigue, il est nécessaire d'analyser les changements qui ont pu se produire récemment dans votre vie.
Essayez de débuter les journées à la même heure. Avoir une certaine routine aide le corps à mieux récupérer (On recommande des heures fixes de lever, de coucher et de repas). Utilisez un agenda, et inscrivez vos tâches. Procurez-vous un outil concret.
En effet, une nuit trop longue annoncerait un risque de développer une démence dans les dix ans, alerte une nouvelle étude publiée dans la revue Neurology. Elle conclut qu'une bonne nuit de sommeil est ce qu'il y a de plus bénéfique pour la santé, à condition de ne pas la prolonger au-delà de 9 heures.
La plupart des Français commencent le travail entre 8 et 10 heures. Pour bénéficier d'un temps de sommeil optimal (entre 7 et 9 heures), il faudrait se coucher entre 22h et 23h30. Quelle est la bonne heure pour se lever ? Comme pour le coucher, l'heure idéale pour se lever n'existe pas.
La personne préfère rester constamment couchée. Généralement ce sont les personnes souffrant de neurasthénie ou d'une importante dépression qui présentent une clinomanie. C'est une sorte d'addiction, de rester au lit, de refuser de se lever.
Si dormir peu n'est pas sans risque pour la santé, trop dormir le serait tout autant. C'est pourquoi les scientifiques ont mis en évidence l'importance du rapport de dormir au minimum 5 heures, et maximum 7 heures par nuit pour avoir un cœur qui bat avec efficacité.
Sur le long terme, cette désynchronisation favorise la fatigue voire la somnolence, des troubles du sommeil, des troubles métaboliques et cardiovasculaires, des troubles de l'humeur et de l'anxiété, ainsi qu'une moindre efficacité du système immunitaire”, met en garde le Dr Colas des Francs, spécialiste du sommeil.
Se coucher tard et dormir peu augmente le risque cardiovasculaire, favorise les troubles de la mémoire et de l'attention, bouleverse l'équilibre du microbiote intestinal...
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
Lors d'un épisode dépressif, la personne atteinte de ce trouble présente une humeur morose (sentiment de tristesse, d'irritabilité, de vide) ou une perte de plaisir ou d'intérêt pour les activités, pendant la majeure partie de la journée, presque tous les jours, pendant au moins deux semaines.
"Les couche-tôt ont tendance à manger des aliments plus sains", explique la psychologue Kristin Aschbacher qui a mené l'étude. Les personnes qui se couchent entre 19 heures et 23 heures mangeaient ainsi davantage de légumes, de fruits, de glucides riches en fibres et de protéines maigres.
Les Américains sont les premiers à se réveiller.
C'est peut-être parce que les Américains aiment aller courir tôt le matin, avant d'aller travailler. Mais cela peut aussi signifier qu'aux États-Unis, les gens s'en vont travailler bien plus tôt qu'en France, en Allemagne ou au Royaume-Uni.
Pour se lever à 7h, il faut se coucher soit à 1h du matin, soit à 23h30, soit à 22h. Pour se lever à 6h30, il faut se coucher à minuit et demi, à 23h ou à 21h30.
On parle alors d'ivresse du sommeil, ou "sleep drunkenness" selon les scientifiques anglophones. "Ce comportement relève lui d'une pathologie rare - l'hypersomnie idiopathique - qui ne concerne que 1% de la population et dont on ne sait pas encore expliquer les causes" précise le chercheur.
Une dette de sommeil correspond au nombre d'heures de sommeil qu'il nous manque à la fin de chaque nuit. Autrement dit, il s'agit de la différence entre le nombre idéal et le nombre réel d'heures de sommeil. Ces heures perdues s'accumulent au fil des jours et constituent une dette de sommeil pour notre organisme.
Les adolescents (14-17 ans) ont quant à eux besoin de dormir 8 à 10 heures par nuit. Les adultes (26-64 ans), entre 7 et 9 heures et les personnes âgées de 65 ans et plus affichent pour leur part des besoins quelque peu plus élevés: de 7 à 8 heures de sommeil journalières sont préconisées par les chercheurs.
Il est, en outre, conseillé de ne pas se rendormir, même 10 minutes. « On se prive alors du cortisol que l'organisme a sécrété naturellement pour le premier éveil, et le second sera plus pénible », avertit la Dre Royant-Parola.