L'âge avancé, l'origine ethnique, et les antécédents familiaux de cancer de la prostate sont des facteurs de risque individuels de cancer de la prostate. Le poids, l'obésité et la taille sont également des facteurs de risque de survenue de cancer prostatique (WCRF, 2018). Ce sont les seuls facteurs de risques avérés.
Les causes du cancer de la prostate
Le premier facteur qui rentre en ligne de compte lorsqu'on parle des causes de ce cancer est sans doute l'hérédité. Ainsi, les hommes dont le père ou le frère ont été atteints de cancer de la prostate courent trois fois plus de risque de contracter la maladie.
Une des principales causes des fuites urinaires chez les hommes est une hypertrophie de la prostate : une glande située sous la vessie. L'hypertrophie de la prostate est une conséquence naturelle du vieillissement de l'organisme et provoque des problèmes à la miction (qui désigne le fait d'uriner).
difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Une prostatite peut être causée par différentes bactéries – provenant d'une infection urinaire, d'une infection transmise sexuellement ou de la pose d'un cathéter à titre d'exemples – et entraîner une prostatite aiguë ou chronique. Elle peut également être de type chronique, sans présence de bactéries.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Faites le plein de lycopène en mangeant des tomates et autres fruits et légumes très colorés, car ce pigment de la famille des caroténoïdes est un puissant antioxydant qui pourrait contribuer à maintenir stable la taille de la prostate et à freiner le développement tumoral. Et surtout, prenez du zinc !
La prostate joue un rôle dans la sexualité, mais uniquement dans l'éjaculation et la reproduction. Par contre, elle ne joue aucun rôle dans le phénomène d'érection. Elle est sous l'influence des hormones mâles (androgènes).
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Si on considère les patients qui, dix ans après la prostatectomie, ont un taux de PSA se maintenant à 0,4 ng/ml ou en dessous, 40 % d'entre eux vivent avec ce taux parfaitement satisfaisant. En ce qui concerne des patients en vie après dix ans, présentant un taux de PSA élevé, ils sont 75 à 80 % à toujours être en vie.
Il est possible de guérir du cancer de la prostate si la maladie est diagnostiquée à ses premiers stades de développement. Lorsque la maladie a atteint le stade avancé, le traitement peut en soulager les symptômes et prolonger la vie.
L'âge : exceptionnel chez les hommes de moins de 50 ans (0,5% des cas), le cancer de la prostate touche principalement les plus de 70 ans (âge moyen au diagnostic 74 ans ; 45% diagnostiqués après 75 ans).
Le médecin préconise donc de réduire sa consommation de "graisses saturées d'origine animale comme la viande rouge, le beurre, le fromage". En revanche, il est conseillé d'augmenter les fruits et les légumes, notamment la tomate et ses vertus antioxydantes, le brocoli et la grenade.
Quels sont les examens clés? Une prise de sang permet de connaître le taux d'une protéine naturellement produite par la prostate, l'antigène spécifique de la prostate ou PSA. Une élévation de ce taux par rapport aux valeurs normales (inférieures à 4 ng/ml) peut être le signe d'une anomalie.
Une hématurie, présence de sang dans les urines, est également un symptôme précoce du cancer de la prostate, ainsi que des tumeurs de la vessie ou des reins (bien plus rares). La présence de sang dans le sperme est également évocatrice d'un cancer de la prostate.
Un verre de vin rouge par jour peut-il prémunir contre le cancer de la prostate ? Une consommation modérée de vin rouge n'augmente pas significativement le risque de cancer de la prostate, selon une nouvelle étude. En réalité, elle pourrait même avoir un effet légèrement protecteur.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
des douleurs de la région pubienne, au niveau de l'urètre, du pénis, et parfois du rectum ; un malaise général ; des douleurs musculaires ; une prostate douloureuse lors du toucher rectal.
Lors d'hypertrophie bénigne de la prostate, uriner devient difficile : l'émission d'urine est lente à démarrer, le flux est faible et saccadé, et des gouttes d'urine continuent à s'écouler pendant une minute ou deux. Après avoir uriné, l'impression que la vessie n'est pas vraiment vide persiste.
L'hypertrophie bénigne de la prostate expose également au risque de blocage complet de la miction (=rétention aiguë d'urines). L'hypertrophie bénigne de la prostate touche un homme sur deux après 50 ans.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Toutefois, ces résultats positifs n'ont pas été observés par toutes les études scientifiques. En ce qui concerne le jus de citron, à ma connaissance, aucun lien n'a été démontré.
Les gras saturés à éviter sont ceux qui proviennent des viandes grasses et des produits transformés à base de viande, alors fuyez le salami, les saucisses et le bacon, et consommez l'agneau et le bœuf avec modération.