Il ne faut jamais arrêter de façon brutale un traitement prolongé par corticoïdes car cela risque de provoquer une insuffisance des glandes surrénales et favorise une rechute de la maladie (myosite, myasthénie) le cas échéant.
Boire suffisamment d'eau chaque jour
L'eau est la première solution naturelle qui permet d'éliminer la cortisone du corps.
Syndrome de sevrage aux stéroïdes Léthargie, dépression, anorexie, nausées, myalgies et arthralgies.
L'action anti-inflammatoire de la cortisone se diffuse pendant une quinzaine de jours.
Je peux avoir du mal à dormir
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique. Les effets secondaires dépendent de la dose et de la durée du traitement. Plus la dose est élevée, plus le traitement est long et plus le risque d'effets indésirables augmente.
Le gonflement du visage est lié à une modification de la répartition des graisses. Il n'existe malheureusement pas de mesure pour lutter contre cette conséquence heureusement rare, observée pour des doses importantes. L'hypertension artérielle et les œdèmes des jambes peuvent être diminuées par un régime pauvre en sel.
Limiter les apports en sel (Sodium ou Na+) :
– Attention à certaines eaux gazeuses riches en sel : la quantité de sodium pouvant aller jusqu'à plus de 1 500 mg par litre. Privilégiez les eaux à faible teneur en sodium (environ 10 mg par litre).
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
En raison de cet effet secondaire, ils sont utilisés avec une grande précaution en cas d'infection. L'administration par voie orale et intraveineuse peut entraîner une hypertension artérielle, une insuffisance cardiaque, un diabète, des ulcères peptiques et une ostéoporose, ou aggraver ces affections.
Les feuilles de cassis, ou feuilles de groseillier noir, se sont, en effet, révélées beaucoup plus riches en flavonoïdes que le fruit de la même plante. Il s'agit notamment de rutosides aux effets anti-oxydants, analgésiques, anti-allergiques et anti-inflammatoires.
Le Boswellia serrata et l huile de poisson soignent doucement les douleurs arthritiques et les crampes d estomac. La vitamine B ou l iodure de potassium diminuent les maladies de peau rapidement. De hautes doses en vitamine D réduisent l activité de la maladie.
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Cette prise de poids est habituellement modérée, de l'ordre de 1 à 2 kilos. Par ailleurs, les corticoïdes modifient l'aspect physique avec apparition d'un arrondissement du visage (le visage « lunaire »), d'une bosse au niveau de la nuque (« bosse de bison ») ou d'une augmentation du tour de taille.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Son action est utile dans le traitement de nombreuses affections inflammatoires ou allergiques. À fortes doses, ce médicament diminue les réactions immunitaires et est donc également utilisé pour prévenir ou traiter le rejet des greffes d'organes.
Ces anomalies sont dues à une redistribution des cellules graisseuses dans l'organisme (appelée lipodystrophie) et pas à une rétention d'eau. Fréquence : on estime qu'après deux à trois mois de traitement, 60% des patients vont présenter une modification significative de leur aspect physique.
Or, les effets de la cortisone sont facilement décuplés par la consommation d'alcool pendant le traitement. Les principaux risques incluent alors le ralentissement de l'élimination de l'alcool, la diminution de l'absorption du médicament, des vertiges ou encore des palpitations.
Par ailleurs, les corticoïdes induisent fréquemment des crampes, notamment en début de traitement. Cet effet indésirable est moins connu des médecins mais est bien connu des patients. Ces crampes sont souvent nocturnes et touchent souvent les mains et les pieds.
En effet, il n'existe pas de remède associé qui puisse vous permettre de dépérir du visage pendant un traitement à la cortisone. Toutefois, un régime très pauvre en matière grasse, en sel, en sucre serait idéal pour éviter le gonflement du visage.
Une des solutions est d'avoir un régime alimentaire adapté, c'est-à-dire riche en protéines, en potassium, en vitamines et en calcium, mais pauvre en graisses, en sucres, et surtout en sel, pour éviter la prise de poids et l'hypertension artérielle.
Prednisone (ex: Cortancyl ®) et prednisolone (ex: Solupred ®) sont assez rapidement éliminées par l'organisme et on considère qu'après une prise orale unique d'une de ces molécules, il faut moins de 24 heures pour ne plus en retrouver de trace dans l'organisme.
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Effets indésirables ophtalmologiques
Description : les corticoïdes augmentent le risque de glaucome (=augmentation de la pression dans l'œil) et de cataracte.