Si vous avez pour but d'arrêter complètement de boire de l'alcool, instaurez une date limite. Dites-vous par exemple : « Je ne boirai plus une goutte d'alcool à compter du 31 juillet prochain. » Si vous êtes « grand buveur », un arrêt sans sommation peut-être accompagné d'effets secondaires dangereux.
Face à cette difficulté, vous pouvez dans un premier temps essayer de reprendre le contrôle de votre consommation à travers ces quelques astuces : Passez en revue vos habitudes et modifiez celles qui vous incitent à boire de l'alcool. Privilégiez les activités où vous n'allez pas être tenté de boire.
L'asaret est généralement utilisé comme émétique (qui provoque des vomissements). Grâce à son odeur nauséabonde d'éthanol, il donne une sensation de dégout de l'alcool. L'asaret provoque non seulement des nausées en contact avec l'alcool, mais comme les autres remèdes de grand-mère.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Dépendance psychologique
Excepté les opiacés, famille de drogues dont fait partie l'héroïne, le sevrage de drogues est plus difficile sur le plan psychologique, puisque c'est à ce niveau que l'addiction se crée.
De plus, l'effet désinhibiteur et dépresseur de l'alcool fait en sorte que certaines personnes finissent justement par exploser en libérant les émotions qu'elles refoulent depuis des mois, voire des années. C'est pour cela que l'on voit plusieurs personnes devenir très émotives ou agressives sous l'effet de l'alcool.
Ces mêmes experts recommandent d'avoir des jours dans la semaine sans consommation d'alcool et, pour chaque occasion de consommation, de : réduire la quantité totale d'alcool bue à chaque occasion. boire lentement, en mangeant et en alternant avec de l'eau. éviter les lieux et les activités à risque.
Profiter du soleil
«Une personne qui ne dort pas bien est plus susceptible d'être impulsive et de se tourner vers l'alcool ou une autre substance, ou encore de commencer à y avoir recours pour l'aider à s'endormir», ajoute-t-elle. Profiter du soleil de manière responsable entraîne d'autres bénéfices.
Prenez de nouvelles habitudes... qui diminueront votre consommation : "Ne commencez jamais l'apéro ou le repas par une boisson alcoolisée et ne buvez jamais deux verres d'alcool de suite. Alternez par exemple un verre d'eau avec un verre de vin."
Les citronnades, jus du commerce, sodas ou alcool par les jus de fruits et légumes. Se délecter à l'apéro sans boire une goutte d'alcool, c'est possible avec certains jus de fruits et légumes. Bien choisis, ces breuvages peuvent être bien plus qu'une boisson-plaisir : une vraie potion magique santé !
Si lorsque vous buvez, vous ne pouvez plus vous arrêter, cela signifie que vous n'êtes plus, au moins sur le moment, maître de votre consommation. Repérer les augmentations de consommation, ressentir que votre envie de boire est grandissante ou que les occasions se multiplient sont des signes qui peuvent vous alerter.
Depuis février 2013, le nalméfène (Selincro®) dispose d'une autorisation européenne de mise sur le marché pour le traitement de la dépendance à l'alcool. Il est remboursé par la Sécurité sociale depuis septembre 2014. Ce médicament agit sur le système de récompense en diminuant l'envie irrépressible de boire.
Il se pourrait que l'alcool cause chez vous une hypoglycémie, c'est à dire une baisse du taux de sucre dans le sang. Les symptômes sont les sueurs, les tremblements, des palpitations, de la faim, etc. Pour éviter cela, modérez votre consommation d'alcool et ne buvez surtout pas en étant à jeun (estomac vide).
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès. Par ailleurs, put opter pour une monodiète ou des jus detox pendant une journée afin de purifier son organisme.
Les personnes qui ont bu de l'alcool avant d'aller se coucher ronflent plus fréquemment. En effet, la consommation d'alcool provoque un relâchement de la musculature des voies respiratoires.