Prendre constamment du chewing-gum à la nicotine peut vous amener à faire une fixation orale. Remplacez cette gomme à mâcher par autres choses. Prenez du chewing-gum sans nicotine ou à la menthe. Prenez des morceaux de glace, de la gomme à mâcher (faite de résine végétale) ou de la cire d'abeille.
Pour arrêter de prendre des chewing-gums à la nicotine, on peut d'abord diminuer leur dosage. Il faut bien veiller à ne pas prendre ces gommes à mâcher comme un chewing-gum "classique". Enfin, on peut remplacer la prise d'une gomme par une activité, par exemple une marche.
Il est préconisé de ne pas consommer plus de dix chewing-gums par jour, sous peine de connaître de fortes diarrhées. La mastication du chewing-gum a d'autres conséquences inattendues comme celle de favoriser le goût pour la « junk food ». La saveur de menthe modifie le goût des aliments.
- des douleurs abdominales, - des crampes, - des flatulences, - des ballonnements, - le hoquet. Il favorise également les ulcères en déclenchant dans l'estomac une production d'acide gastrique qui attaque les parois de l'estomac et provoque à la longue des ulcères.
En anticipation : identifiez les moments où vous avez habituellement envie de grignoter, 10 minutes avant, mâchez 1 chewing-gum ! En SOS : pour limiter les fringales, mâchez 2 chewing-gums par jour. Mâcher minimum 15 minutes pour libérer les actifs. Ne pas avaler.
L'eau est l'aliment santé par excellence et parmi ses innombrables fonctions salutaires, on trouve celle de coupe-faim naturel. Elle remplit, se diffuse dans l'organisme pour l'alimenter, ne s'évacue pas immédiatement, et boire un ou deux grands verres d'eau avant un repas permet de manger bien moins par la suite.
Non, même le chewing-gum sans sucre peut déclencher une réponse insulinique et rompre le jeûne.
Le syndrome d'Ehlers-Danlos, également appelé la maladie du chewing-gum, regroupe des affections génétiques multiples qui touchent le tissu conjonctif qui représente 80 % du corps. Ce tissu est chargé de lier et de soutenir le corps.
Mâcher régulièrement des chewing-gums, à plus forte raison s'ils sont sans sucre, risque donc bien de faire gonfler le ventre.
Forest Gum ®, sous l'impulsion de l'Allemand Thomas Krämer renoue avec cette tradition écologique du chewing-gum en créant un produit sain, sans additifs chimiques, sans goûts artificiels, sans sucre. Autrement dit, un chewing-gum bon pour la planète et pour la santé !
Les bénéfices de mâcher du chewing-gum
Lorsque vous mâchez du chewing-gum, vous stimulez la production de salive dans votre bouche. Par conséquent, vous avalez plus souvent et luttez ainsi de manière naturelle contre les remontées de l'estomac. Le chewing-gum rend aussi le pH de la salive alcalin.
Une fois où je fumais une cigarette avec un chewing-gum dans la bouche, un ami m'a dit de faire attention car le fait de faire les deux en même temps pourrait augmenter le risque de cancer du palais.
Mâcher un chewing-gum en cas de stress favorise la détente et le bien-être. En mastiquant calmement, le pouls cardiaque baisse et la respiration se fait plus régulière.
Alors qu'il est bien pratique de mâcher un chewing-gum après manger lorsque nous ne pouvons pas nous brosser les dents, cela va aussi nous faire avaler de l'air en grande quantité. Ce qui peut donner des flatulences, des ballonnements, un ventre gonflé et une digestion ralentie.
Le chewing-gum peut provoquer des problèmes d'occlusions intestinales si le consommateur en avale fréquemment au lieu de le jeter, c'est pour cela que le chewing-gum est vivement déconseillé chez les enfants qui ont tendance à l'avaler facilement.
Le chewing-gum comme régulateur
Or un chewing-gum sans sucre apporte seulement 5 calories.
Mastiquer ces précieuses gommes permettrait d'activer les masséters, soit les muscles de la mâchoire, et de redéfinir la jawline. Il a en effet été scientifiquement démontré que la mastication entraîne les muscles inférieurs du visage.
La tension de la mâchoire est aussi associée à la qualité du sommeil. Mâcher des chewing gums de manière excessive mène plus facilement au bruxisme qui est un serrement dentaire nocturne intempestif.
Avantage de la mastication pour la gestion de poids
Une étude publiée dans la revue Obesity a démontré qu'une plus longue mastication (plus d'une minute) diminue la prise de calories, et ce, indépendamment de la quantité de nourriture présente dans l'estomac.
La misophonie est donc une intolérance à certains sons, tels que le goutte-à-goutte d'un robinet, le cliquetis des touches d'un clavier ou la mastication d'un chewing-gum. Les bruits désagréables déclenchent toutefois souvent une réaction beaucoup plus violente qu'une simple « intolérance » chez un misophone.
La "maladie viking", plus prévalente dans le nord de l'Europe, est héritée des Néandertaliens. La maladie de Dupuytren se caractérise par une flexion irréductible d'un ou plusieurs doigts chez les sujets.
Son diagnostic passe d'abord par un examen clinique. En France, le SEDh ou hypermobile (sous-type le plus fréquent), ne bénéficie pour le moment d'aucun examen biologique ou génétique permettant sa confirmation : son diagnostic est par conséquent uniquement clinique.
La tradition veut que le jeûne soit rompu en mangeant quelques dattes et en buvant un verre de lait.
En mâchant du chewing-gum après un repas, vous pouvez donc favoriser la protection de vos dents et de votre santé bucco-dentaire. Les minéraux générés par la salive supplémentaire peuvent également aider à renforcer l'émail des dents, ce qui diminue le risque de caries.
Le régime 16:8 (ou ALT pour « alimentation limitée dans le temps ») : qui consiste à ne consommer des aliments que pendant 8h par jour puis jeûner pendant 16h. En pratique, le jeûne intermittent le plus courant correspond à une journée sans petit-déjeuner et des prises alimentaires seulement entre 12h et 20h.