1/ Les personnes impulsives qui sont intolérantes à la frustration. Elles ont beaucoup de mal à accepter une nuisance, même légère, ou simplement à accepter de ne pas obtenir ce dont elles ont envie.
Les personnes atteintes de trouble de la personnalité borderline ont des difficultés à contrôler leur colère, elles s'irritent souvent de façon injustifiée et excessive. Elles peuvent exprimer leur colère par des sarcasmes cinglants, de l'amertume ou des diatribes virulentes.
Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
colérique adj. et n. Qui est prompt à se mettre en colère, coléreux.
Par exemple, si vous vous mettez en colère parce que vous avez été critiqué au travail, vous pourriez vous demander si vous avez besoin de reconnaissance ou d'estime de soi. Si vous vous mettez en colère parce que quelqu'un ne vous a pas écouté, vous pourriez avoir besoin de respect et d'attention.
Réagir quand la colère n'est pas dirigée contre soi
Etre compréhensive, le dire, parler d'une voix calme aidera à l'apaisement. Laissez votre proche exploser tant que ce n'est pas contre vous.
Lorsque l'on s'énerve trop souvent pour de mauvaises raisons et que l'on ne parvient plus à garder son calme, la cause est toujours la même : une mauvaise gestion de la colère. Beaucoup de personnes ne font qu'alimenter leur colère au quotidien, et ne savent pas la gérer sainement.
Le manque de sommeil peut suffire à rendre irritable. Dans ce cas, réfléchissez à ce que vous pouvez modifier dans votre emploi du temps, ou dans votre trajet domicile-travail pour dormir suffisamment. Pensez aussi aux tâches ou aux personnes que vous pourriez éviter pour avoir des journées plus agréables.
3: Quand quelqu'un nous dérange, nous agace c'est simplement que nous avons ce même travers à l'intérieur de nous et que nous ne voulons pas le regardez en face. Une facette de notre personnalité qui n'est pas révélée, quelque chose que l'on ne s'autorise pas à faire, qu'on n'ose pas.
la dépression; les troubles bipolaires; la dysthymie : impression de vivre une dépression atténuée, caractérisée par une tristesse moins intense et des symptômes moins forts que ceux de la dépression.
La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon. Les soucis (Si) sont associés à la Rate/Pancréas.
La colère lèse le foie. Il est l'organe en relation avec la colère. Lorsque l'énergie du foie est faible, il y a des colères fréquentes. Lorsque l'énergie des Reins est faibles, l'énergie du foie peut s'affaiblir, il y a plus de colères, on parle de montée de l'énergie yang du foie.
Les choses à faire
"En se reculant, on laisse de l'espace à la personne pour qu'elle puisse s'exprimer. Plus on s'approche, plus la personne va se sentir en danger", affirme la spécialiste. La bonne attitude consiste aussi, comme pour les enfants, à mettre des mots sur les émotions de l'autre.
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
Lorsqu'il y a une difficulté, la colère est là pour nous avertir qu'il y a un problème et nous mettre en posture pour y faire face. C'est un vecteur qui nous aide à vivre une situation, au même titre que la tristesse ou la fuite. Selon le contexte, l'émotion 'colère' se déclenche plus ou moins facilement.
Mieux prendre conscience de ses émotions
Le simple fait de prendre conscience de sa colère, lorsqu'elle est présente, est fondamental. La méditation, l'écriture, ou la thérapie peuvent aider à mettre des mots sur les émotions et à prendre conscience de ce que l'on ressent.
La difficulté à supporter les autres peut aussi venir de votre sentiment d'être différent, voire trop différent. Vous avez alors l'impression de ne plus pouvoir vous adapter à des codes et des normes qui ne sont pas les vôtres.
S'agacer, s'énerver, se mettre en colère, sont des émotions normales, mais qui ont, à la longue des répercussions délétères sur notre santé mentale et physique. La colère provoque tout d'abord des troubles digestifs importants : inflammations gastriques (reflux et brûlures d'estomac, ulcères) ; diarrhées.
S'énerver une fois par mois se traduirait par un risque supplémentaire d'une crise cardiaque en plus par an. Ce chiffre bondit à 158 dans le cadre de grosses colères plusieurs fois par jour. Conclusion : il est conseillé de se détendre !
À chaque fois que la colère prend le dessus, nous ne sommes plus nous-mêmes. Nous nous laissons envahir par une partie de nous qui souffre et qui est là pour nous indiquer une blessure non réglée. Cette blessure vient d'une situation douloureuse vécue étant jeune avec un parent et où le pardon n'a pas été encore fait.
Les problèmes liés à la colère
Souvent, les personnes en prise avec des problèmes de colère se sentent coupables ou déçues par leur comportement. Elles peuvent aussi avoir une faible estime de soi et souffrir d'anxiété ou de dépression. éventail de problèmes de santé.
Cela peut être lié à une perte de contrôle des émotions au moment de faire face à des facteurs déclencheurs à l'origine de situations négatives par le passé. Il peut aussi y avoir des changements physiques qui causent une perte de contrôle émotionnel, comme un épuisement ou une chute de la glycémie.