La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir. Il ne s'agit pas d'une maladie en tant que telle, elle est davantage le symptôme de multiples pathologies psychiatriques.
Liseur, euse n. et adj. = personne qui aime lire, qui lit beaucoup. Un grand liseur.
Clinophilie: De la tendance à la pathologie. De la simple difficulté récurrente à sortir de son lit, à la clinophilie ( le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé), rester au lit alors que rien ne le justifie sur un plan somatique, n'est pas un symptôme anodin.
LECTEUR, LISEUR. On appelle lecteurs, lectrices, ceux ou celles dont l'emploi est de lire à des personnes qui les écoutent ou qui devraient les écouter ; et liseurs ou liseuses ceux ou celles qui ont l'habitude de lire beaucoup.
La clinophilie – ou le fait d'avoir envie de rester dans son lit - est un symptôme peu connu de certains troubles psychiatriques. Il peut notamment être révélateur d'une dépression ou d'une schizophrénie.
La Dysanie n'est pas la même chose que la somnolence ou la fatigue, et elle ne disparaît généralement pas avec une bonne nuit de sommeil. Au contraire, la Dysanie est définie comme un sentiment à long terme de ne pas pouvoir sortir de son lit.
Rester à la maison a des conséquences négatives sur notre bien-être psycho-physique. Selon une étude publiée dans la revue "Current Biology", cette habitude peut entraîner une augmentation du risque d'anxiété et d'insomnie.
La clinophilie désigne le fait de vouloir rester toujours dans son lit, ou par extension, de rester chez soi et de ne plus vouloir, ou ne plus pouvoir sortir.
Comment Appelle-t-on une fille qui lit beaucoup ? Des lectrices avant tout – Le « grand lecteur » est une « grande lectrice ». Les femmes représentent 63% de cette catégorie.
Une personne clinophile reste allongée dans son lit toute la journée parce que c'est l'endroit où elle se sent le mieux et le plus en sécurité. Rester couché devient comme une obsession ou une addiction.
Un risque de démence multiplié par deux
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
Se dit d'un malade qui ne peut pas quitter le lit.
Elle est normale après une mauvaise nuit de sommeil ou encore après un repas copieux. Cependant, lorsque ces somnolences surviennent trop fréquemment dans la journée, on parle de somnolence diurne excessive. De nombreuses pathologies ou troubles peuvent en être à l'origine, il est donc important de consulter.
Définition de bibliophile nom
Personne qui aime, recherche, conserve avec soin les livres rares, précieux.
Définition de noctambule nom et adjectif
(Personne) qui se promène ou se divertit la nuit.
MAQUEREAU2, -ELLE, subst.
La lecture m'apporte du réconfort, du voyage, de la connaissance et une multitude d'émotions. En étant plongée complétement dans mon roman, je ne fais de mal à personne, je suis parfaitement capable d'adapter mon temps, de savoir m'arrêter lorsque c'est nécessaire, de lâcher mon livre si on a besoin de moi.
bookworm {substantif} [fig.]
aboulie. Trouble mental caractérisé par l'affaiblissement de la volonté, entraînant une inhibition de l'activité physique et intellectuelle.
L'anhédonie, ou perte de la capacité à ressentir le plaisir, est un symptôme central de la dépression majeure, de la schizophrénie et d'autres troubles neuropsychiatriques.
(Psychiatrie) Tendance exagérée, parfois morbide à rester couché ou manie lectuaire.
Raisons psychologiques : par exemple, vous avez dû prendre un seul appartement après une séparation, un décès, un divorce ; vous avez dû déménager suite à une transition ou un changement de votre situation professionnelle (chômage etc.).
La peur du vide
Il s'agit de gens qui se remplissent, détestent le vide, ne supportent pas « ne rien faire », et ne savent d'ailleurs pas « ne rien faire ». On retrouve cette caractéristique de l'hyperactivité dans l'une des phases du deuil, comme une manière de rester en vie.
L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être. Ce dernier consiste en l'existence d'une émotion pénible, dépressive, qui domine le sujet.