On recense traditionnellement en français onze signes de ponctuation qui s'insèrent dans le texte : le point . , le point d'interrogation ? , le point d'exclamation ! , la virgule , , le point-virgule ; , le deux-points : , les points de suspension … , les parenthèses ( ) , les crochets [ ] , les guillemets « » , le ...
On les nomme alors «points de coupure» ou encore, «point d'omission».
Les points de suspension forment un signe de ponctuation toujours représenté par trois points qui se suivent.
Des points-virgules séparent chacun des éléments; Les éléments commencent tous par un mot d'une même catégorie grammaticale; Le point-virgule qui clôt l'avant-dernier élément n'est pas suivi de « et »; Un point marque la fin de l'énumération.
Le point seul marque une pause plus longue que tous les signes (virgule, point-virgule, etc.). On le met à la fin de toutes les phrases, de toutes les périodes dont le sens est complet, et qui n'ont de liaison avec ce qui suit que par la convenance du sujet.
Action d'énumérer, de détailler ; catalogue, liste, recensement : Une énumération sans fin.
Les principaux signes de ponctuation sont : le point [.], le point d'interrogation [?], le point d'exclamation [!], le point-virgule [;], les points de suspension […], les deux points [:], la virgule [,], les guillemets [« »], le tiret [—], les parenthèses [( )].
"Les trois petits points peuvent être un marqueur d'opposition que l'on n'est pas capable d'exprimer directement. En réalité, l'interlocuteur bouillonne et peut finir par exprimer son mécontentement ailleurs, en ne faisant pas correctement ce qui lui est demandé, par exemple", décrypte la psychologue Vanessa Lalo.
Ils peuvent être le signe d'une certaine hésitation, d'une indécision ou d'une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée. Dans tous les cas, il sera fait appel à l'imagination du lecteur pour deviner quel est le sens le plus probable dans le contexte de la conversation.
pour signifier qu'une liste n'est pas exhaustive. Ils peuvent vouloir sous-entendre quelque chose. Ils peuvent remplacer un passage tronqué, quand ils sont placés entre crochets comme ceci […]. Placés avant du texte, ils signalent une reprise ou la suite d'un texte (qui n'est pas forcément mentionné).
Le point d'exclamation peut être doublé, triplé et même combiné au point d'interrogation pour exprimer l'incrédulité, l'étonnement.
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
Les tirets
On les utilise : -Dans un dialogue, pour indiquer le changement d'interlocuteur.
La ponctuation blanche, c'est tout ce qui est de l'ordre de la disposition des mots sur la page : espaces, alinéas, saut de paragraphes, etc.
L'origine de ce mot est floue. Si pour certains esperluette vient du latin sphaerula qui signifie « petite sphère », d'autres lui donnent une explication plus récente et pittoresque. Au XIXe siècle les écoliers apprenaient l'alphabet avec 27 lettres dont le &, prononcé « ète » en dernier.
L'esperluette est le nom donné au signe typographique "&", qui peut remplacer le mot "et".
Il y a 4 types de phrases : la phrase déclarative, la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative. On peut mettre chacune de ces phrases soit à la forme affirmative ou négative.
La ponctuation grammaticale, marquée par le point, la virgule et le point-virgule, a une valeur syntaxique : elle sépare les éléments du discours et indique les rapports logiques qui existent entre eux.
La virgule ( , ) marque une courte pause dans la lecture et permet de respirer. Elle sépare des groupes de mots. Les deux-points ( : ) se placent avant une explication ou une précision dans la phrase. Ils ne marquent pas la fin d'une phrase et ne sont donc pas suivis d'une majuscule.
Le point d'exclamation est un signe de ponctuation qui exprime l'exclamation. On le place après un mot, une locution ou une phrase exprimant un sentiment tel que la joie, la surprise, l'indignation, l'étonnement, l'ironie, etc.
Lorsque l'énumération semble excessive ou interminable, on parle d'accumulation : pour B. Dupriez 1, « l'accumulation garde quelque chose de moins logique : elle saute d'un point de vue à l'autre, semble pouvoir se poursuivre indéfiniment, tandis que l'énumération a une fin […]. ».
L'accumulation crée de l'amplification par une énumération de mots, de groupes de mots ou de phrases. Cette figure génère un effet de profusion.