Le pervers narcissique se montre violent. Il ne reconnaît jamais ses torts. Il utilise les mots pour manipuler.
Les autodidactes se perçoivent souvent comme des trompeurs qui abusent leurs collègues, leurs amis et leurs supérieurs. Ces personnes vivent dans le doute et pensent qu'un jour elles seront démasquées et que quelqu'un fera la preuve de leur incapacité.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.
Le narcissisme, ce trouble de la personnalité caractérisé par une tendance à être centré sur soi-même, à exagérer ses talents et à manquer d'empathie, peut devenir problématique pour ceux qui en souffrent et leur entourage, souligne le psychologue Nicolas Chevrier.
Psychologie : pourquoi est-ce si difficile de reconnaître ses torts ? "Le mauvais orgueil est de croire qu'on ne peut avoir tort, et c'est une faiblesse de n'oser reculer quand on fait fausse route" écrivait Fénelon. Il nous arrive à tous de nous tromper, de ne pas prendre la bonne décision.
Le pervers narcissique se montre violent. Il ne reconnaît jamais ses torts.
La crédibilité de l'image qu'il renvoie est un point faible du manipulateur sur lequel vous pouvez appuyer pour le déboussoler. Un autre point faible du manipulateur est son manque d'humilité. Vous pourriez donc le déstabiliser en faisant des compliments aux autres sans jamais lui en faire.
Le leader hubristique persiste dans des choix critiquables, n'écoute pas son entourage – et encore moins ses opposants –, et refuse toute contradiction ou compromis.
Parmi nous il y a des sauveurs. Ces personnes qui sont très, voire trop, empathiques, qui ont envie d'aider tout le monde dans toute situation. Ce sont des personnes qui vont tout donner pour les autres, quitte à s'oublier soi-même.
L'ostracisme (ou rejet social) est une forme d'exclusion délibérée d'un individu d'une relation interpersonnelle ou d'une relation sociale.
Les personnes atteintes du trouble de la personnalité narcissique sont sensibles et gênées par les critiques des autres et par l'échec, qui les fait se sentir humiliées et vaincues. Elles peuvent répondre avec rage ou mépris, ou elles peuvent riposter violemment.
Cela s'explique par le fait que notre esprit cherche en permanence à déformer la réalité à sa faveur et à se détacher des problèmes. Généralement, ce phénomène émane d'un sentiment inconscient d'insécurité. Accuser l'autre est beaucoup plus facile que de se remettre en question.
Avoir du mal à présenter des excuses a très souvent un lien avec une haute estime de soi anormale. Tout en voulant conserver leur dignité sans s'abaisser à dire qu'ils ont tort, les personnes qui ont du mal à présenter des excuses ne veulent en réalité pas avouer leur faiblesse.
stupide. 1. Qui manque d'intelligence, de jugement, de réflexion : Il est stupide, il ne comprend rien.
analyste
2. Personne qui se plaît à l'analyse, qui sait analyser une pièce, un film, un texte, le caractère de quelqu'un, etc. 3. Officier chargé de procéder à l'analyse des objectifs justiciables d'un tir nucléaire.
La dysphasie est trouble du développement du langage oral. Elle se traduit par une incapacité à communiquer et à transmettre des informations automatiquement d'un côté, et par des grandes difficultés à recevoir et à comprendre les informations qu'on lui transmet d'un autre.
Qui est trop fortement attaché à son opinion, à sa volonté, en parlant des personnes. Un esprit opiniâtre. Un enfant opiniâtre.
outrecuidant, outrecuidante
Qui est impertinent, désinvolte : Réponse outrecuidante.
altruiste. Dévouement, se consacrer à autrui de façon désintéressée, sans rien attendre en retour.
"On ne peut rien te dire, tu prends tout mal… Qu'est-ce que tu es susceptible !". Le mot est lâché, souvent par l'entourage. Il faut bien dire qu'une personne susceptible l'avoue rarement, voire s'en défend. Souvent piquée au vif par des remarques perçues comme négatives, elle réagit de façon souvent excessive.
Querelle : Définition simple et facile du dictionnaire.
Dans ce que déteste un manipulateur, perdre le contrôle sur ses victimes est l'une de ses grandes hantises. La mégalomanie faisant partie intrinsèque de son tempérament. Cette perte équivaut pour lui à un effondrement de sa personnalité, ou à une forme d'anéantissement.
Au lieu de lui prouver qu'il a tort en listant les 292 gentillesses qui lui ont été accordées, il suffit de lui clouer le bec avec une réplique sans appel : « C'est ton opinion », ou « Je ne suis pas d'accord, mais tu penses bien ce que tu veux » ou encore plus déconcertant un « Peut-être » bien indifférent.
Autre attitude à respecter pour déstabiliser un pervers narcissique ou le mettre à distance : cesser de se sentir responsable. Les victimes ont beaucoup à gagner au fait de comprendre qu'elles ne peuvent rien au trouble de la personnalité qui frappe leur partenaire. Cette souffrance est strictement la sienne.