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Formules interrogatives ce que et qu'est-ce que. Qu'est-ce que et qu'est-ce qui s'utilisent dans des phrases interrogatives directes, qui se terminent par un point d'interrogation. Les interrogations indirectes emploient quant à elles ce que et ce qui, et se terminent par un simple point.
(affirmative ou négative) en phrase interrogative directe. C'est la façon la plus simple de poser une question, très courante à l'oral. L'ordre des mots est le même que dans une phrase déclarative et, à l'écrit, le point d'interrogation est la trace de l'intonation : Vous me rappellerez ?
La proposition interrogative indirecte est une subordonnée introduite soit par la conjonction si, soit par un terme interrogatif : pronom (qui, que, quoi, lequel), déterminant (quel) ou adverbe (comment, pourquoi, où, quand, combien). Dis-moi s'il est heureux et ce qu'il compte faire. J'ignore qui il a rencontré.
Le point d'interrogation est la marque d'une interrogation directe (Partirez-vous ?). On n'utilise pas le point d'interrogation dans une interrogation indirecte (sauf bien entendu si cette interrogation fait elle-même partie d'une phrase interrogative. (Lui a-t-il demandé si elle vous accompagnait ?).
Le nombre qui remplace le point d'interrogation doit donc permettre d'obtenir 30, aussi bien sur l'horizontale que sur la verticale. Sur la 2e ligne, on a 14 + 6 = 20. Pour obtenir 30 comme somme, il faut ajouter 10.
La question alternative doit permettre d'obtenir une réponse franche sur un sujet précis. Elle se construit à partir des propos partagés entre les deux protagonistes et s'inclut naturellement dans le fil de la conversation. Elle s'articule sur un modèle simple : « Préférez-vous X ou Y ? ».
Quand on pose directement une question à quelqu'un, on emploie l'interrogation directe/le discours direct/le style direct. À l'oral, c'est seulement le ton montant de la voix qui marque l'interrogation. À l'écrit, il ne faut pas oublier le point d'interrogation ( ? ) et les guillemets (« ... ») ou un tiret (−).
II.
On distingue deux types d'interrogation : l'interrogation partielle, qui suppose l'apport d'une information manquante. L'intonation est descendante ; le terme interrogatif initial est mis en relief (ex : Qui a téléphoné tout à l'heure ?) ; l'interrogation totale, qui suppose une réponse par « oui » ou « non ».
L'interrogation partielle porte sur une partie, un élément ou une circonstance de l'énoncé visés par un mot interrogatif (adjectif, pronom ou adverbe interrogatif). On ne peut pas y répondre par oui ni par non. La réponse est totalement ouverte : Qui est là ?
Dans le cadre d'une interrogation indirecte, la question est intégrée dans une phrase à l'aide d'une proposition subordonnée interrogative qui complète le verbe de la principale. La subordonnée est introduite par une conjonction (si) ou par un mot interrogatif (pronom, déterminant, adverbe).
Une proposition subordonnée interrogative indirecte est une proposition introduite par un pronom, un déterminant ou un adverbe interrogatif. Elle est complément d'objet direct de la principale. Aimée se demande pourquoi elle a raté son examen.
Employer la subordonnée interrogative indirecte
Une proposition subordonnée interrogative indirecte permet de poser une question à la suite d'un verbe exprimant une interrogation, une connaissance ou une ignorance. Elle est introduite par un mot interrogatif (adverbe, pronom, adjectif : pourquoi, qui, quel…) ou par si.
Discours indirect : les paroles sont retranscrites de façon indirecte par une proposition subordonnée, introduite par “que” ou “de”. Les guillemets et les points d'exclamation et d'interrogation disparaissent.
Ainsi, on retrouve les questions ouvertes au registre courant, les questions ouvertes au registre soutenu et les questions ouvertes au registre familier.
Qu'est-ce qu'une question fermée ? Une question fermée consiste à proposer aux participantes et participants un choix de réponses que vous avez prédéfinies en amont. Chaque personne interrogée sélectionne une ou plusieurs réponses, selon la manière dont la question se présente.
➢ Questions fermées : Sur un sujet ponctuel ; une seule réponse peut convenir. Ex : « Comment s'appelle… ? ». ➢ Questions ouvertes : Sur un sujet plus générale ; plusieurs réponses possibles. Ex : « comment expliques-tu cela ? ».
La question alternative
Avec ce type de question, il s'agit d'amener l'interlocuteur à choisir une réponse parmi plusieurs possibilités offertes, généralement deux. Attention : elle peut facilement apparaître comme une technique de forcing quelque peu éculée.
La ponctuation expressive a une valeur stylistique : elle sert à évoquer des nuances affectives, à produire des effets de style. C'est le rôle que jouent notamment le point d'exclamation, le point d'interrogation et les points de suspension.
La phrase déclarative correspond au modèle de la phrase de base tandis que la phrase interrogative, la phrase exclamative et la phrase impérative sont des phrases transformées. Plus précisément, elles sont le résultat de la transformation du type déclaratif de cette phrase de base.
La ponctuation de texte, ou « macroponctuation », permet de diviser un texte long en plusieurs parties; ainsi, l'alinéa ponctue le texte en séparant les paragraphes, les titres, etc.