Réfléchissez avant de parler
Même si vous vous sentez proche de votre enfant, être complètement honnête n'est pas toujours la meilleure façon de l'aider. Écoutez d'abord. Parlez ensuite comme si c'était un ami.
Essayer de comprendre le comportement de l'autre permet de le juger moins vite et cela suffit parfois à renouer le dialogue. "Et si la réconciliation reste impossible en dépit de tous les efforts ? "Mieux vaut alors s'accorder une respiration en décidant de se voir moins souvent, conseille Monique Van Eyken.
Pour cela, une seule solution : faire une pause et pratiquer l'écoute active. Cessez de parler. Posez-lui des questions et reformulez clairement ce qu'elle vous dit. Vous comprendrez mieux son point de vue et elle se sentira, de son côté, davantage écoutée.
La relation mère-fille doit être basée sur la chaleur, le soutien et la confiance. Et pour élever des filles confiantes et sûres, les recherches suggèrent que les mamans se concentrent sur..
Si les conflits entre mère et fille sont inévitables, c'est parce qu'il s'agit de deux femmes, qui cherchent d'abord à élaborer, ensuite à séparer leurs destins féminins. Il n'y a pas de lien mère-fille simple: la normalité est que celui-ci soit fait d'accords et désaccords, d'éloignements et réconciliations.
Montrez votre affection
Pour les gestes d'affection, un simple bisou ou câlin par jour suffit (pas besoin d'en faire plus que nécessaire). Votre enfant va se sentir aimé et va avoir beaucoup plus confiance en lui.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Prendre un bon départ avec le renforcement positif
Les félicitations, le soutien, ou encore l'attention, vous permettront de gagner du lien pour que les enfants puissent se sentir appréciés en retour. Ils peuvent alors développer leur autonomie, leur estime de soi et la confiance dont ils ont besoin.
Cela se traduit par un regard, des mots. En prononçant des phrases comme, "ma petite fille, comme tu es belle" par exemple, la mère lui montre qu'elle accepte ce corps féminin et qu'elle l'intègre dans son monde. C'est une façon de lui dire finalement : on naît femme et personne ne peut le nier.
Rappelez-lui toute l'importance qu'elle a pour vous et combien vous l'aimez. Elle peut dire qu'elle trouve ces paroles ringardes et faire comme si elle détestait ces petits moments, mais vous ne savez pas ce qui se passe dans sa tête. Ces mots affectueux sont peut-être ce qui l'aide à tenir.
Pré-requis au lâcher-prise : Le pré-requis le plus important est la sécurité. Si une tâche que s'apprête à faire un enfant est dangereuse, stoppez-le. Expliquez-lui que son intégrité physique est en jeu et qu'il est hors de question de prendre ce type de risque.
Je t'aime si fort ! Ces simples mots ont une telle portée ! Depuis ta naissance, il n'est pas un jour sans que je pense à toi, ma bichette (oui, je ne peux pas m'empêcher de t'appeler ainsi, Blandine). Je t'aime si fort : mon cœur de maman n'a jamais cessé d'être tout tourné vers toi.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.