Assurez-vous de faire un don à une association de bonne réputation comme l'Armée du Salut, la Croix Rouge Internationale ou l'Unicef. Des associations factices peuvent malheureusement émerger suite à une catastrophe dans le but de détourner des dons bien intentionnés X Source de recherche .
les mesures de conservation préventive, telles que le conditionnement, le microfilmage et la numérisation constituent aussi des moyens efficaces de réduire les conséquences des catastrophes.
Faire un don matériel
Aujourd'hui, la plupart des communes sinistrées ont reçu suffisamment de dons matériels pour venir en aide aux victimes des inondations. Attendez un nouvel appel spécifique de la Croix-Rouge ou d'une commune pour donner ou apporter du matériel.
Pendant : Suivez tous les ordres d'évacuation mais ne traverser jamais de zones inondées. Allez à l'étage le plus de votre maison ou de votre immeuble. Après : Faites attention aux débris qui se trouvent dans l'eau. Surveillez les moisissures dans les zones endommagées par les inondations + papiers assurances.
La communication sur le risque inondation
Les communes soumises au risque disposent d'un Document d'Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM). C'est un document qui recense tous les risques présents sur le territoire de la commune ainsi que leur extension et préconise la conduite à tenir en cas de risque.
La réduction des inondations (nombre et impact) peut être obtenue par des actions en terme de : Rétention amont et ralentissement des crues : création de bassins de rétention, restauration de zones d'expansion des crues (ZEC), travaux de restauration et d'entretien de la ripisylve.
Les députés suggèrent de restreindre la monoculture et d'encourager le reboisement pour lutter contre les inondations et la désertification. Les zones du réseau Natura 2000 touchées par des incendies ou des inondations de- vraient aussi être réhabilitées par les fonds communautaires.
La garantie catastrophe naturelle (inondation, tempête…)
Dans ce cas, c'est l'Etat qui prend en charge les dommages causés par l'événement météorologique. Il peut par exemple s'agir d'une tempête ou d'une inondation.
Depuis hier, la Croix-Rouge Olne-Sprimont-Trooz organise la collecte et le tri des vêtements, chaussures et produits d'hygiène pour les communes de Sprimont et Trooz à la demande des autorités communales. Le centre de tri est ouvert de 10 à 18h, tous les jours jusqu'à jeudi au moins.
Développer une gestion forestière adaptative pour prévenir les incendies et améliorer la résistance aux sécheresses, Améliorer le rôle des forêts protectrices, notamment contre les crues torrentielles, Développer la surveillance des dynamiques des bassins versants pour réduire le risque torrentiel.
Un des moyens essentiels de prévention est l'adoption par les citoyens de comportements adaptés face aux risques naturels. La loi du 22 juillet 1987 impose d'informer préventivement les populations des risques auxquels ils sont exposés et des mesures de sauvegarde qui les concernent.
Mais l'action de l'homme est de plus en plus liée aux catastrophes : marées noires, explosion chimique ou industrielle (catastrophe de Bhopal en Inde, Tchernobyl), famine due à la sécheresse mais aussi au processus de désertification engendré par l'homme (au Sahel et en Éthiopie)…
La notion de prévention décrit l'ensemble des actions, des attitudes et comportements qui tendent à éviter la survenue de maladies ou de traumatismes ou à maintenir et à améliorer la santé.
Au sens strict, on entend par «disaster prevention» l'adoption de mesures destinées à éviter les catastrophes, ce qui n'est pas toujours possible, et par «disaster reduction» l'adoption de mesures destinées à en réduire ou à en limiter la gravité.
L'évacuation préventive consiste à faire quitter les zones de danger le plus rapidement possible aux personnes, soit pour être prises en charge par les secours, soit pour se mettre à l'abri car les lieux présentent un danger. Cette pratique est aussi vieille que le monde.
Pour accroître la résilience des individus, des ménages ou des communautés aux catastrophes, il est nécessaire d'interagir simultanément afin de couvrir les besoins urgents dus aux chocs mais aussi les besoins permanents, en ciblant les causes structurelles de la vulnérabilité.
L'objectif est de diminuer les pertes de vies humaines et de moyens de subsistance. Des initiatives simples peuvent y contribuer, notamment la formation aux opérations de recherche et de sauvetage, la mise en place de systèmes d'alerte rapide, la planification d'urgence ou le stockage de matériel et de fournitures.
Une digue ne réduit pas l'ampleur d'une inondation mais vise à constituer un bouclier permettant de mettre à l'abri les biens et les personnes, d'un quartier ou d'une commune et donc de diminuer les dommages provoqués par la montée de l'eau.
Qu'est-ce qu'un risque majeur ? Il existe deux familles de risques majeurs : risques naturels (inondation, séisme, tempête, cyclone, mouvement de terrain, avalanche, feu de forêt, volcanisme) et risques technologiques (accident industriel, accident nucléaire, transport de matière dangereuse, rupture de barrage).
La population doit connaître les vecteurs de diffusion des informations officielles : station(s) de radio et fréquence(s) associée(s), sites Internet des institutions, page de la mairie sur un réseau social, etc.
C'est une sensibilisation qui consiste à passer de maisons en maisons, de porte en porte, afin de diffuser des messages sur le changement de comportement face aux pratiques d'hygiène, sur la maladie choléra et les moyens de s'en protéger et d'apporter à la communauté des réponses à leurs questions.