On dit d'une personne qu'elle est complexée lorsqu'elle est focalisée sur certains de ses défauts, réels ou imaginaires, et que cela entraîne un sentiment d'infériorité. La personne complexée a donc une perception déformée d'elle-même.
Avoir un complexe (d'infériorité),
avoir le sentiment pénible qu'on est inférieur aux autres et le manifester dans son comportement.
Les complexes proviennent « d'un sentiment d'infériorité qui génère une conduite timide, inhibée » selon une définition du Larousse. Cette perception déformée de nous même est entraînée par une focalisation sur un défaut physique ou psychologique.
La fille compliquée, c'est celle qui bizarrement ne tombe jamais sur la personne qu'elle voudrait. C'est la fille qui rêve d'une rencontre jolie, douce, où on avance pas à pas pour se découvrir. C'est la fille qui sait pourtant que dans la réalité, il y a des princes arrogants et cons, et des gentils hommes charmants.
Il ne faut pas se replier sur soi, mais regarder les autres, leur parler, pour comprendre comment ils fonctionnent avec leurs imperfections. Une personne complexée est orgueilleuse : elle ne croit pas les avis extérieurs, est persuadée qu'elle a raison. Il faut changer d'attitude et écouter ce qu'on nous dit.
Se parler avant bienveillance et conserver un rapport à soi amical est donc essentiel pour ne pas vivre sous le joug de ses imperfections. Le détachement représente certainement l'un des principaux secrets des gens sans complexes.
Quasi-antonyme, antonyme partiel.
Synonyme : compliqué, délicat, difficile, embrouillé, emmêlé, sophistiqué.
Synonyme : complication, difficulté. Contraire : clarté, facilité, netteté, simplicité.
Le complexe d'infériorité, c'est le fait de se focaliser sur un point de sa personnalité ou de son corps que l'on considère comme un défaut et qui nous fait nous sentir inférieur aux autres. Ce défaut peut être réel mais il peut aussi être le fruit de votre interprétation voire même totalement imaginé.
Par exemple, lorsqu'une personne est satisfaite d'elle-même, elle est beaucoup plus susceptible de se réjouir des succès de son entourage. D'autre part, lorsqu'une personne est mal à l'aise avec elle-même, elle peut finir par rabaisser les autres. Cela peut être le signe d'un complexe de supériorité.
On utilise les signes > et <, pour comparer des chiffres ou des nombres. Le signe > signifie que le nombre situé à gauche de > est plus grand (ou supérieur) que celui situé à droite de >. Le signe < signifie que le nombre situé à gauche de < est plus petit (ou inférieur) que celui situé à droite de <.
Personne n'est parfait, tout le monde devrait donc avoir un complexe. Est-ce le cas ? Les réponses avec le Dr Aurélia Schneider, psychiatre comportementaliste : "Le problème du complexé, c'est qu'il se focalise sur son défaut.
Cessez de faire une fixation sur vos complexes
Détachez-vous de vos imperfections pour vous intéresser à vos qualités ! Listez tous vos points forts. Se concentrer sur ses atouts permet de déplacer le centre de gravité ! Car n'oubliez pas : c'est dans votre regard que réside le problème, et non dans celui des autres.
Habillez-vous en fonction de votre taille.
Un corps petit peut être très attirant. Portez simplement des vêtements qui vous donnent l'air bien proportionné. Les filles peuvent porter des talons si elles le veulent et les garçons peuvent gagner 2 ou 3 cm avec des chaussures plateformes.
Derrière le complexe d'infériorité d'origine psychologique ("Je suis nul") se cachent des problèmes d'estime de soi, avec surestimation des autres (vus comme plus beaux, plus intelligents, plus courageux...).
Et parfois, ce manque d'estime peut être inconscient. Le manque d'estime de soi trouve généralement sa source dans l'enfance. Vous pourriez avoir été rabaissé par un de vos parents pendant votre enfance. Vous pourriez avoir ressenti un manque d'estime de leur part, alors même qu'ils vous aimaient.
Quoi qu'il en soit, si vous vous sentez rabaissé-e, il est très probable que ce soit à cause du narcissisme et du manque d'estime de soi ; de fait, même si le narcissisme n'atteint pas toujours des niveaux pathologiques, il peut être caractéristique, à plus ou moins grande échelle, du comportement de certaines ...
Le complexe est alors défini comme un ensemble de représentations et de souvenirs à forte valeur affective, partiellement ou totalement inconscients.
Un complexe physique est susceptible de se fixer sur n'importe quelle région du corps. Il est caractérisé non pas par son côté objectif (la taille du soutien gorge ou la longueur du nez), mais bien plus par la souffrance qu'il engendre chez la personne complexée. La souffrance est donc le critère.
Le premier à présenter un article sur l'interprétation géométrique des nombres complexes est Caspar Wessel (1745‑1818) en 1797. Quelques années plus tard, c'est Jean‑Robert Argand (1768‑1822) qui interprète l'ensemble des nombres complexes comme une extension à deux dimensions des nombres réels.