Un accord 7 où vous voyez simplement écrit « 7 », sans rien d'autre, comme par exemple le Mi 7, et bien cet accord est aussi appelé septième de dominante, c'est la même chose. Mais dans le vocabulaire usuel, il sera fréquent de simplement dire « accord 7 ».
En harmonie tonale, un accord de septième de dominante avec fondamentale est un accord de quatre notes placé exclusivement sur le Ve degré des deux modes. Il est composé d'un accord parfait majeur et d'une septième mineure.
Pour obtenir un accord de septième, on va répéter la même opération: on va empiler une nouvelle tierce à partir de la quinte. On obtient alors la quatrième note de l'accord: la septième. Les notes qui composent l'accord de septième sont donc respectivement appelées la fondamentale, la tierce, la quinte, et la septième.
Pour faire simple, nous dirons que tout accord de 7e trouve sa résolution dans un accord qui se situe à une quinte au-dessous de lui, soit 7 demi-tons. Exemples : Si nous avons un Sol 7, l'accord de résolution sera le Do majeur. Si nous avons un Do 7, l'accord de résolution sera le Fa majeur.
L'accord de septième de dominante est constitué de l'accord parfait majeur, sur la dominante d'une tonalité, auquel s'ajoute une septième mineure. Il y a trois renversements de l'accord de septième de dominante.
Comment reconnaître une septième mineure ? Règle de solfège : Tous les intervalles issus d'une gamme majeure, et dont la première note de l'intervalle est la tonique sont soit majeurs soit justes, et seuls l'unisson, l'octave, la quarte et la quinte sont justes (les autres sont majeurs).
Le DO7 correspond donc à l'accord de DO, auquel s'ajoute la septième note de la gamme, le SI. Plutôt facile jusqu'à présent, mais qu'en est-il du 9 ? Il n'y a pourtant que 8 notes dans une gamme ! Très simplement, l'accord de neuvième rajoutera la 9ème note si vous poursuivez la gamme, soit un RÉ.
La notation similaire utilisée dans la pratique, soit C, désigne un accord formé d'une tierce majeure et d'une quinte juste avec le do comme base, soit invariablement [do mi sol], quelle que soit la gamme. De la même façon, « Cm » désigne le même accord composé d'une tierce mineure [do, mi bémol, sol].
Les degrés I , IV et V seront donc les accords privilégiés et les plus employés du mode mineur. Les degrés II et VII sont des accords diminués et le degré III est un accord augmenté. Ils seront peu ou même pas du tout employés pour écrire de la musique.
Nous jouons la gamme de Sol majeur sur les accords Bm7, Am7 et GM7 : En fait, en utilisant le mode mixolydien, une note va "frotter" avec la gamme de Sol majeur, c'est la quarte de chaque mode mixolydien (notes mib et réb : cadres bleus ci-dessus).
La majeur (abrégé en LaM dans le système latin et en A dans le système américain) est la tonalité composée de la gamme majeure A et contient les notes La, Si, Do#, Ré, Mi, Fa#, Sol# et La. Sa tonalité contient trois signes de croix (en fa, do et sol).
Prenez la gamme correspondant au nom de l'accord que vous souhaitez construire, puis piochez ses notes I, III et V. Par exemple si vous souhaitez construire l'accord de Do Majeur, il vous suffit de prendre la gamme de Do Majeur et de piocher ses notes I, III et V. En l'occurrence Do, Mi et Sol.
Les accords majeurs sont ceux qui donnent une coloration joyeuse à l'oreille. Pour les jouer, rien de plus simple. Mais il faut tout-de-même apprendre quelques rudiments de solfège, notamment les intervalles de notes. On partira toujours de la note tonique pour jouer un accord majeur parfait.
La règle des accords I,IV,V est très simple : parmi les sept accords de la gamme que l'on vient d'obtenir, il vous suffit de piocher les accords correspondants aux degrés I, IV et V de la gamme. Dans notre exemple, il s'agira donc des accords de Do Majeur, Fa Majeur et Sol Majeur.
Chaque chiffre désigne une note, ou plus précisément, l'intervalle — « 2 », pour une seconde, « 3 » pour une tierce, « 4 », pour une quarte, etc. — situé entre cette note et la basse de l'accord, cet intervalle pouvant être éventuellement redoublé (exemple A).
Dans la musique tonale, la dominante désigne le cinquième degré d'une gamme. Quel que soit le mode — gamme majeure ou gamme mineure — ce degré est toujours situé une quinte juste au-dessus du degré principal, la tonique, soit, une quarte juste en dessous, conformément à la règle des renversements.
Qu'est-ce que la tonique en musique ? Dans la musique tonale, la tonique est le premier degré d'une tonalité, et par conséquent des gammes majeure et mineure. Un accord construit sur ce Ier degré est appelé « accord de tonique » ; sa note fondamentale est une tonique .
En musique, une septième (nom féminin) est l'intervalle séparant deux sons. Une septième comprend sept degrés. Par exemple : do-si (six degrés : do-ré-mi-fa-sol-la-si) ou bien sol-fa (six degrés : sol-la-si-do-ré-mi-fa) forment une septième.
En musique et en solfège, les accords majeurs sont souvent décrits comme lumineux, joyeux, tandis que les accords mineurs sont décrits comme sombres, tristes ou solennels. La théorie de la musique précise qu'un accord majeur comporte une tierce majeure, alors qu'un accord mineur comporte une tierce mineure.
Une note de musique, c'est avant tout un son, une fréquence sonore. Si tu doubles la valeur de cette fréquence, tu as la même note plus aiguë. Si tu la divises de moitié, tu as la même note plus grave.