Les terreurs nocturnes sont un trouble du sommeil normal qui apparaît en général quand l'enfant est âgé entre 18 mois et 4 ans. Il est préférable de ne pas réveiller un enfant qui a une terreur nocturne. Il faut toutefois rester à ses côtés afin de s'assurer qu'il ne se blesse pas.
La terreur nocturne se manifeste en début de nuit, pendant le sommeil, et pendant le sommeil lent et profond. - Se redresse, - Ouvre les yeux. - Il se met à hurler, à pleurer, à sangloter, à pousser des cris perçants (on parle de hurlement Hitchcockien !)
La solution la plus efficiente consiste en général à traiter une affection sous-jacente qui est à l'origine des terreurs nocturnes comme une apnée du sommeil ou un problème psychologique. Dans certains cas, réaliser une psychothérapie peut être utile. Améliorer les conditions de sommeil est aussi important.
Les terreurs nocturnes se caractérisent par des symptômes physiques observables à peu près identiques à ceux de la peur, tels que l'accélération du rythme cardiaque et la transpiration. De ce point de vue, elles ressemblent plus à des crises de panique qu'à des cauchemars, cela est à ne pas confondre.
Environ 15% des enfants entre les âges de 5 et 12 ans ont au moins un épisode de somnambulisme. Les terreurs nocturnes et le somnambulisme s'arrêtent presque toujours spontanément, bien que les épisodes occasionnels puissent se reproduire pendant des années.
Contrairement aux cauchemars qui résultent d'une anxiété passagère, les terreurs nocturnes sont plus graves et peuvent cacher une angoisse véritable. Survenant généralement au début de la nuit, elles peuvent être particulièrement impressionnantes.
Généralement, les pleurs de bébé indiquent que celui-ci a peur ou est angoissé. Il peut s'agir soit de terreur nocturne soit d'un cauchemar. Les terreurs nocturnes concernent uniquement les bébés ayant plus de 2 mois et interviennent en toute première partie de la nuit. Ce dernier crie et hurle : il semble terrifié.
Hallucinations et sensations d'angoisses, la paralysie du sommeil peut parfois prendre des formes terrifiantes. Près de 10 % de la population en aurait déjà souffert, mais le Dr Daniel Neu se veut essentiellement rassurant.
Il est courant de comparer la paralysie du sommeil à un rêve éveillé de courte durée. La personne va reprendre conscience pendant la nuit, mais les seuls muscles capables de répondre sont les muscles respiratoires et oculaires. Cet état peut être une source d'inquiétude, mais ne présente aucun danger réel.
Cette paralysie, qui génère une grande angoisse, serait due à une irruption du sommeil paradoxal dans l'état de veille: l'atonie musculaire caractéristique du sommeil paradoxal se poursuit bien que le sujet soit parfaitement conscient.
On estime que 30 à 40 % de la population a connu (ou connaîtra au moins une fois) une paralysie du sommeil. Ce trouble peut toucher absolument tout le monde mais il n'est pas fréquent. Les personnes ayant déjà des troubles du sommeil ne sont pas plus exposées que les autres.
Quand faut-il intervenir ? Dans les premiers mois de la vie, les pleurs d'un enfant doivent être soulagés le plus rapidement possible, car ils témoignent généralement d'un état d'insécurité émotionnelle. À cet âge-là, les enfants n'utilisent pas les pleurs comme un moyen de pression sur leurs parents.
Mettez à sa disposition des objets qu'il peut utiliser quand il a peur, comme une petite veilleuse, une lampe de poche qu'il peut garder dans son lit ou encore un toutou rassurant. Apprenez-lui à respirer profondément quand il commence à avoir peur. Ne proposez pas à votre enfant de chasser le monstre de sa chambre.
La paralysie du sommeil génère des symptômes d'angoisse, de peurs, du même ordre que ceux des terreurs nocturnes, mais il existe en plus des phénomènes hallucinatoires connexes non décrits dans les terreurs nocturnes (du fait de l'amnésie de ces dernières).
A partir de quel âge un enfant peut être capricieux ? On situe cet âge critique aux environs des 18 mois. Avant cet âge, un bébé pleure uniquement par besoin ; il peut avoir faim, froid ou avoir besoin d'être rassuré ou changé, par exemple. On ne parle de caprices qu'aux alentours des 2 ans.
2 ans, le début des véritables caprices
Par la même, il commence à exprimer ses désirs et ses envies, ce qui peut générer des conflits et des crises face aux adultes. Il teste son entourage mais aussi ses propres limites, et c'est donc souvent à cet âge qu'il vous offre ses plus grosses colères.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
Insomnie psychophysiologique
On parle aussi d'insomnie chronique. L'idée est que la personne souffre tellement de ne pas dormir qu'elle finit par avoir peur de se coucher et de ne pas réussir à s'endormir : c'est une insomnie qui se nourri elle-même !
Chez l'adulte, les terreurs nocturnes sont plus rares et il vaut mieux consulter un neurologue spécialiste des troubles du sommeil afin d'éliminer d'autres pathologies.
La position dorsale présente donc de nombreux atouts pour la santé et le bien-être. C'est la position la plus naturelle pour dormir. C'est aussi la meilleure position de sommeil pour maintenir la colonne vertébrale droite et alignée. Toutefois, elle est à éviter en cas de trouble de sommeil.
Les hallucinations nocturnes se produisent typiquement au cours de la première ou de la dernière phase du sommeil. Les hallucinations hypnagogiques ont lieu au moment où la personne s'apprête à s'endormir.
Paralysie du sommeil : les traitements
La paralysie du sommeil est un trouble bénin et le plus souvent ponctuel. Il n'existe donc aucun traitement particulier pour s'en débarrasser.
pour la perception consciente. Inconsciemment, cependant, nous percevons tout ce qui se passe autour de nous. Donc même lorsque nous dormons, nous écoutons. Cependant, des filtres dans notre cerveau font en sorte que nous ne nous réveillions pas à chaque bruit.