VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.
Si vous voyez des tâches brunes (muscle brun) fuyez ! Portez également une attention particulière aux bords : s'ils sont secs ou de couleur jaune – marron, n'achetez pas ce saumon. Cette mention, d'apparence anodine, ne l'est pas du tout ! Car derrière cette phrase, se cache une technique de fumage.
Un échange d'eau, contaminée par les pesticides, est donc probable. L'arsenic, le cadmium, le mercure, le plomb… sont des composés chimiques présents naturellement dans l'environnement (air, sol et eau) et peuvent, de fait, se retrouver dans les denrées alimentaires.
Les poissons et les mollusques et crustacés qui contiennent des concentrations plus élevées de ces acides gras tout en présentant une faible concentration de mercure sont les suivants : anchois, capelan, omble, merlu, hareng, maquereau, meunier noir, goberge, saumon, éperlan, truite arc-en-ciel, corégone, crabe, ...
Observez la couleur.
Regardez si la chair est pâle et terne pour savoir si le poisson est encore bon ou non. Le saumon frais doit avoir une coloration rose ou orangée vive. Si sa chair est pâle et terne, cela signifie probablement qu'il s'est abimé X Source de recherche .
La réponse est simple : évitez. Le poisson a une DLC, une date limite de consommation qui est sanitaire. Des bactéries pathogènes telles que la listéria peuvent se développer dans le poisson cru périmé, et ne sont pas facilement repérables à l'œil nu.
Certains saumons semblent tirer vers l'orange, voire le rouge, d'autres vers le rose pâle… Ces différences tiennent tout simplement à l'origine du poisson et à la quantité d'astaxanthine qu'il a pu trouver dans son alimentation. Il faut cependant toujours être attentif à la fraîcheur du poisson.
Les poissons les plus pollués sont : espadon, marlin, requin, lamproie, brochet, anguille… Les poissons moyennement contaminés sont : lotte, bonite, flétan, dorade, bar, saumon, thon… Les poissons les moins contaminés sont : colin, merlan, sole, cabillaud, hareng, truite, anchois, maquereau, sardine…
Le mercure inorganique peut provoquer de l'insuffisance rénale et des lésions gastro-intestinales. Les sels de mercure sont irritants et peuvent provoquer des cloques et des ulcères sur les lèvres et la langue.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Mais il n'en est rien. En effet, des études ont montré que la peau contient énormément d'Oméga 3. Donc mieux vaut la manger. Car en plus, elle n'a pas de goût ni d'odeur particulière.
Les poissons qui peuvent être consommés sans restriction
Selon le rapport, l'aiglefin et le saumon sont les deux espèces de poisson qui présentent le moins de mercure et peuvent donc être consommés librement.
Les poissons gras, comme le saumon, le maquereau et le hareng, sont riches en oméga-3 et vous aident à vous protéger contre les maladies cardio-vasculaires.
On ne doit pas consommer la zone brune de la tranche
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines.
Le poisson sent avant tout de la tête
Donc, soulevez légèrement les ouïes vers l'avant et sentez l'odeur des branchies. Ne faites pas non plus la fine bouche : l'odeur est désagréable même si le poisson est encore tout à fait mangeable.
Privilégiez donc un saumon label rouge, un saumon bio que vous l'achetiez en GMS ou chez le traiteur. (nourriture meilleure, moins de traitements antibiotiques, densité plus faible). Choisissez une date de limite de consommation la plus éloignée possible car le saumon fumé s'oxyde vite.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Se détoxifier et nettoyer le corps
Afin d'éliminer les métaux lourds par le processus de détoxification, il est essentiel dans un premier temps de chélater* ces métaux nuisibles avec certains nutriments comme la chlorella, antioxydant naturel, le chardon-Marie et la chicorée.
SUCCICAPTAL est le seul antidote per os actuellement disponible indiqué en cas d'intoxication chronique par le plomb ou le mercure. Les autres médicaments utilisés dans cette indication ne sont administrables que par voie injectable (dimercaprol par voie IM et calcium édétate de sodium par voie IV lente).
Il recommande donc les poissons gras : le saumon mais aussi la sardine, le maquereau ou encore le hareng et « conseille de manger du poisson maigre et du poisson gras entre 2 et 4 fois par semaine ».
Parmi ceux-ci, on peut citer la traditionnelle sardine, crue ou cuite, le maquereau, le merluchon, le merlan, le tacaud, la vieille, le lieu noir, la carpe ou l'aile de raie. Simplement grillés, au beurre noir, aux câpres, farcis, en papillote, ils offrent une grande variété de présentation.
Le saumon d'Alaska est celui qui s'en sort le mieux car la mer est moins polluée. C'est donc celui qui permet de bénéficier des bienfaits du saumon sauvage en limitant les méfaits liés à la contamination des océans.
- Le saumon sauvage est très peu présent en Europe, il provient surtout de la mer Baltique et de l'océan Pacifique. Dans le premier cas, sa chair est plutôt blanche et dans le second, la couleur de sa chair est assez soutenue, portant même sur le rouge.
On appelle albumine la protéine blanche qui exsude de la chair du saumon durant la cuisson. Ceci est tout à fait normal et naturel. Faites tremper le saumon dans de l'eau salée durant 10 minutes avant la cuisson pour réduire la quantité d'albumine et préassaisonnez le poisson.
A Rungis, le filet de saumon a vu son prix s'envoler, notamment depuis le mois d'avril. En cause, à la fois le prix des aliments utilisés par les salmoniculteurs mais aussi une forte mortalité supérieure à la normale dans les élevages et des stocks congelés au plus bas.