Les jours ouvrables correspondent à tous les jours de la semaine (du lundi au samedi). En sont donc exclus les dimanches (si considérés comme jour de repos hebdomadaire) et les jours fériés.
La notion de jours ouvrés correspond à l'ouverture réelle de l'entreprise. Quels sont les jours ouvrés ? Traditionnellement, le salarié travaille du lundi au vendredi. C'est donc la semaine entière qui est prise en compte à l'exception du samedi et du dimanche qui sont des jours non travaillés.
Un jour ouvrable correspond à tous les jours de la semaine qui peuvent être légalement travaillés, à l'exception du jour de repos hebdomadaire (généralement le dimanche) et des jours fériés habituellement non travaillés. On en compte 6 par semaine (lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi et samedi, généralement).
Les jours ouvrables sont les jours qui peuvent être légalement travaillés (du lundi au samedi), ils excluent les dimanches et jours fériés. Les jours ouvrés représentent les jours où l'entreprise est réellement en activité (en général du lundi au vendredi).
L'employeur peut décompter les jours de congés en jours ouvrés, c'est-à-dire en jours normalement travaillés dans l'entreprise. Il doit alors appliquer l'équivalence six jours ouvrables = cinq jours ouvrés. Le congé légal de trente jours ouvrables devient donc un congé de vingt-cinq jours ouvrés.
En entreprise, le calcul est généralement fait en fonction des jours ouvrables. La jurisprudence tolère le calcul en jours ouvrés seulement lorsque le calcul est plus favorable au salarié. Dans le cas d'un jour férié tombant un samedi par exemple, si le calcul est fait en jour ouvré, il sera perdu.
Si la période de congés se décompte en jours ouvrables, le samedi sera décompté. Les samedis doivent donc être considérés au même titre que les autres jours de la semaine dans le calcul des congés payés, qu'ils soient chômés ou non dans l'entreprise.
La méthode de décompte des congés payés
Selon le Code du travail, les congés payés doivent être décomptés en jours ouvrables. Cela signifie que le congé débute le premier jour où le salarié travaillerait s'il n'était pas en congé. Ensuite, tous les jours ouvrables sont pris en compte jusqu'à la reprise du travail.
Les jours ouvrables correspondent à tous les jours de la semaine, soit du lundi au samedi en règle générale. Un jour ouvré représente les jours durant lesquels une entreprise travaille réellement (habituellement du lundi au vendredi inclus), sauf les jours fériés quand elle est normalement fermée.
La distinction jours ouvrables – jours ouvrés
Jours ouvrables = Ce sont tous les jours de la semaine à l'exception du jour de repos hebdomadaire (souvent le dimanche) et des jours fériés. Comme le samedi est un jour ouvrable, si la période de congés comprend ce jour, il sera compté comme un jour de congés payés.
Le calcul du 1/10e de la rémunération brute est effectué ainsi : (21 840/10) = 2 184 € pour un congé d'une durée de 30 jours ouvrables (ou 25 jours ouvrés). Vous percevez alors le montant le plus favorable, soit 873,60 € pour vos 2 semaines de congés payés.
Jour férié habituellement chômé
Le jour férié n'est pas décompté des congés payés. : Jour effectivement travaillé dans une entreprise ou une administration. On en compte 5 par semaine. La convention collection : Accord écrit négocié entre les représentants syndicaux de salariés et des groupements d'employeurs.
L'amendement du gouvernement contient donc deux grandes mesures : Les salariés en maladie d'origine non professionnelle vont acquérir des congés payés, dans la limite de quatre semaines par an. Une durée qui correspond au minimum prévu par le droit européen.
5 jours ouvrés : ce sont généralement les lundi, mardi, mercredi, jeudi et vendredi (mais si l'entreprise ouvre le samedi et ferme le lundi, les jours ouvrés vont du mardi au samedi). 6 jours ouvrables : tous les jours de la semaine sauf celui de repos hebdomadaire (le dimanche en général).
Calcul des congés acquis
Cela veut dire qu'une semaine correspond à 6 jours. Chaque salarié présent sur toute la période de référence a droit à 5 semaines de congés payés, soit 5 x 6 = 30 jours de congés par an. Par conséquent, vous avez droit à 30/12 = 2.5 jours de congés par mois.
Pourquoi divisé par 26 en jours ouvrable et 21.67 en jours ouvrés ? Tout simplement parce qu'en jours ouvrables une semaine correspond à 6 jours de CP et 6 x 52 semaines / 12 mois = 26.
Ainsi, dans une semaine classique, sans jours fériés, on compte 6 jours ouvrables dont le samedi. Un salarié qui prend un semaine de congés, du lundi au vendredi sans jours fériés, se verra donc décompter 6 jours même s'il ne travaille jamais le samedi.
En effet, le jour férié chômé n'étant pas un jour ouvrable, il ne peut pas être décompté des congés payés. Dans cette situation, une semaine de congé comptera donc 5 jours et non 6. C'est donc un jour en plus pour le collaborateur.
En premier lieu, il faut savoir que le salarié ne peut pas choisir seul ses jours de congés payés. L'employeur doit obligatoirement valider les dates et le nombre de jours souhaités et peut refuser d'accepter la demande de l'employé.
Les jours de fractionnement
Le fractionnement du congé principal donne alors droit à des jours de congés supplémentaires si une partie est prise en dehors de la période légale (1er mai au 31 octobre) : un jour supplémentaire pour trois, quatre ou cinq jours, deux jours supplémentaires, au-delà de six jours.
Que se passe-t-il si un jour férié tombe pendant les congés payés ? S'il s'agit d'un jour ouvrable et : Chômé dans l'entreprise : il n'est pas décompté sur les congés payés ; Travaillé dans l'entreprise : il est décompté au titre des congés payés.
Un jour férié, qui tombe dans une période de congé payé, ne compte pas comme un jour de congé s'il est chômé dans l'entreprise. Il n'est donc pas décompté du nombre de jours de congés payés annuels acquis. Un jour férié ne compte pas comme un jour de congé s'il tombe un jour habituellement chômé.
Oui, le salarié doit bénéficier d'un congé continu d'au moins 12 jours ouvrables, soit de 2 semaines de vacances non fractionnées, sur une période allant du 1er mai au 31 octobre. Les dates de congés peuvent être fixées dans un accord d'entreprise ou une convention collective.
Le Code du travail impose théoriquement de poser au moins 12 jours pendant la période estivale du 1er mai au 31 octobre. Toutefois, dans la réalité, des accords de branche permettent bien souvent de reporter vos d'une année sur l'autre.
Dispositions du juge européen et de la Cour de cassation
Ainsi, le salarié en arrêt de travail en raison d'accident du travail ou de maladie professionnelle ou de maladie ordinaire est en droit d'acquérir des congés payés.