Le syndrome de Diogène a été décrit en 1975 par Clark pour caractériser, chez la personne âgée, un trouble du comportement associant une négligence extrême de l'hygiène corporelle et domestique ainsi qu'une syllogomanie (accumulation d'objets hétéroclites) qui conduisent à des conditions de vie insalubres.
Le Syndrome de Diogène désigne un trouble du comportement qui peut toucher n'importe qui mais plus particulièrement les femmes à partir de 70 ans. Il se caractérise notamment par une accumulation d'objets compulsive, par une négligence de son hygiène corporelle, mais aussi domestique.
Qui peut être touché par le syndrome de Diogène? Dans la plupart des cas, cette pathologie concerne principalement les personnes âgées de 70 à 80 ans, et qui vivent seules. La gent féminine est plus touchée que les hommes. La raison est que l'espérance de vie de la femme est plus longue que celle de l'homme.
Le syndrome de Diogène n'étant pas une maladie, il ne peut pas être traité en tant que tel. Pour mettre fin à ce trouble, il faut prendre en charge la pathologie sous-jacente, à l'origine du syndrome, et cela ne peut se faire que dans un cadre médical.
Les personnes atteintes de syllogomanie (thésaurisation pathologique) ont toujours une telle difficulté à jeter ou à se séparer de leurs biens que les objets s'accumulent et encombrent les espaces de vie au point de les rendre invivables.
des troubles cognitifs, liés à la déshydratation, la dénutrition, la fatigue et la dépression. l'opposition aux soins, avec parfois de l'agressivité. un repli sur soi progressif allant vers une disparition complète de la communication.
Le plus souvent, il faut faire appel à une entreprise spécialisée afin de se débarrasser des objets accumulés et nettoyer le logement. Le malade est souvent traité en hôpital psychiatrique, ou au moins suivi psychologiquement, mais il n'existerait aucun traitement efficace contre le syndrome de Diogène.
Le syndrome des jambes sans repos (impatiences) se traduit par des picotements et un besoin de mouvement des jambes, survenant plutôt le soir et la nuit. Il nuit à la qualité de vie et au sommeil.
Toutefois, il y a des facteurs explicatifs : dans 50 % des cas, les gens qui ont un TAC ont une personne avec un TAC dans leur famille, ils ont un attachement différent aux objets et peuvent avoir des difficultés à prendre des décisions. »
Le syndrome des jambes sans repos est associé à une baisse du taux d'oxygène dans le sang. Pour lutter contre ce phénomène, consommez des aliments riches en vitamine B9, aussi appelée acide folique, qui favorise la formation des globules rouges, eux mêmes à l'origine du transport de l'oxygène dans le sang.
Les douleurs aux jambes, souvent confondues avec des douleurs de croissance chez les enfants, peuvent être un symptôme de cancer. Les différencier peut sauver des vies. En Europe et aux États-Unis, les cancers les plus courants chez les jeunes sont les leucémies, les tumeurs cérébrales et les lymphomes.
Des agonistes dopaminergiques : pramipexole, rotigotine, ropinirole. Ces médicaments, également utilisés dans la maladie de Parkinson à plus fortes doses, permettent de diminuer les mouvements des jambes pendant la nuit chez les personnes atteintes de ce syndrome.
omniscient, omnisciente
omniscient adj. Qui sait tout ou paraît tout savoir.
Physiologie de la fin de vie
La phase terminale, qui conduit au décès, est souvent annoncée par des signes dits annonciateurs non spécifiques : troubles neuropsychiques (agitation, somnolence), angoisse de mort, modification des téguments : pâleur, teint cireux, respiration bouche ouverte avec chute des mandibules…
Les réticences de la personne dépendante à être aidée pour sa toilette peuvent ainsi avoir plusieurs causes, variant selon la personne et souvent cumulées ou imbriquées : La pudeur. Le sentiment d'infantilisation. L'inconfort de la toilette, lié notamment à température de la pièce et/ou de l'eau.
La sénilité n'est pas une maladie mais une détérioration des capacités mentales des personnes âgées. Elle est le plus souvent liée à l'âge mais elle peut également être causée par certaines pathologies vasculaires ou addictions (alcool, etc.).
manifestations physiques : accélération du rythme cardiaque (palpitations, tachycardie), pâleur, tremblements, transpiration, sensation de d'étouffement ou d'étranglement, douleurs thoraciques, nausées, vomissements, vertiges, maux de tête … signes comportementaux : prostration ou agitation sans but, déambulation …
La logorrhée est un symptôme souvent présent dans les maladies psychiatriques et neurologiques chroniques. La personne ne se rend pas compte de son trouble, c'est pourquoi il est important de lui expliquer régulièrement ce qui lui arrive pour essayer de contenir son flux verbal.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
Les pathologies vasculaires et nerveuses :
insuffisance veineuse : sensation de jambes lourdes. présence de varices : veines dilatées et tortueuses. une sciatique (ou inflammation du nerf sciatique) : la douleur part d'une fesse et descend dans la jambe en suivant le trajet du nerf sciatique.
Néanmoins, d'autres causes sont à évoquer comme une infection de la peau ou de la jambe (érysipèle), une allergie (urticaire), une phlébite (thrombose veineuse) ou tout simplement un coup de soleil (érythème solaire) !
Le cancer du pancréas est l'un des cancers les plus redoutés, car il est souvent foudroyant.