C'est une grande dame, une femme qu'on admire pour ses qualités morales ou intellectuelles, pour ses talents artistiques, pour sa distinction.
Locution nominale
Femme particulièrement remarquable, d'une haute qualité morale.
1. Titre donné à diverses époques aux femmes de haut rang. 2. Femme à laquelle on attribue une certaine noblesse : C'est une vraie dame.
(Nom commun 1) Du latin domina (« maîtresse de maison »). (Nom commun 2) Du moyen néerlandais dam (« digue »). (Interjection 1) Abréviation de « Notre-Dame ! » ou de « dame Dieu ! » (« Seigneur Dieu ! »).
➙ madame. populaire Épouse. Dites-le à votre dame. Femme.
Femme particulièrement remarquable, d'une haute qualité morale.
Se tenir droit (quand on est debout) et assis sont les caractéristiques distinctives d'une vraie dame. Qui plus est, un bon maintien soulage votre dos et renforce votre épine dorsale ! Il faudra un peu d'entraînement pour s'y faire, surtout si vous avez l'habitude de vous avachir. Soyez respectueuse des autres.
La dame se déplace sur une même diagonale d'autant de cases qu'elle le désire, en avant et en arrière. Un pion peut en prendre un autre en sautant par dessus le pion adverse pour se rendre sur la case vide située derrière celui-ci. Le pion sauté est retiré du jeu. La prise peut également s'effectuer en arrière.
Une vraie dame est celle qui ne montre jamais ses dessous de façon non délibérée.
le Roi vaut 4 points, la Dame vaut 3 points, le Valet vaut 2 points, les 7, 8 et 9 ne valent aucun point.
La dame de cœur est appelée « Judith », probable référence à l'héroïne biblique Judith, ou peut-être à Judith de Bavière.
Synonyme : demoiselle, hie. 2. Figure du jeu d'échecs ou du jeu de cartes.
Le nom féminin madame est un titre de civilité et n'est jamais précédé de l'article la. On dit la dame et non la madame.
Assise elle reste bien droite, n'est jamais avachie et ne croise pas les jambes (elle peut croiser les chevilles, c'est tout). Debout, elle se tient bien droite aussi, ne croise pas les bras mais éventuellement tient ses mains jointes devant elle, et garde les jambes rapprochées l'une de l'autre autant que possible.
L'athlète canadienne-française Marie Sirois (ou Maggie Sirois), parfois surnommée « la femme la plus forte du monde », compte parmi ces figures que l'historiographie québécoise contemporaine est aujourd'hui en train de faire revivre.
De part sa silhouette élancée, La Grande Dame a fait de son esthétique sa marque de fabrique et est la quintessence de la mode. Du haut de ses 197cm et grâce à sa taille de guêpe , elle se démarque et impressionne.
La dame blanche peut se révéler être une sorcière, une fée ou l'annonciatrice d'une mort prochaine. L'expression "dame blanche" utilisée pour désigner un esprit remonte à de très anciennes légendes de l'époque médiévale (elles-mêmes probablement inspirées de légendes antérieures).
La Première dame n'est pas toujours l'épouse du chef de l'État en titre. Dans certaines monarchie, l'épouse du Premier ministre est parfois désignée par ce terme.
La prise par une dame
Elle peut donc prendre plusieurs pions en un seul coup, sous réserve qu'il y ait une case de libre derrière chacun d'entre eux. Elle peut également changer de direction autant de fois qu'elle le veut, dès lors qu'une nouvelle prise est possible.
Les prises sont obligatoires. En un mot, aux Dames, si vous pouvez manger des Pions (ou des Dames), vous êtes obligés de le faire !
La valeur des cartes dans l'ordre décroissant est l'as, le roi, la dame, le valet, le 10, le 9, le 8, le 7, le 6, le 5, le 4, le 3 et le 2.
Quelle définition donneriez-vous d'une femme puissante ? Valérie Hernandez Amalou : Une femme puissante est une femme inspirante, qui ose être qui elle est, c'est une femme qui vous donne envie de vous dépasser, un véritable rôle model.
Que l'on ait de grosses responsabilités dans le monde de l'entreprise ou que l'on s'attèle à faire bouger les choses via une association ou un parti politique, ce que l'on peut retenir, c'est que toutes ces femmes qui donnent l'exemple ont des projets et s'assument telles qu'elles sont.
Cela vient du XIXème siècle, époque à laquelle les lieux publics étaient loin d'être des havres de paix et où les bagarres étaient monnaie courante. C'est pour cette raison que l'homme devait pénétrer en premier à l'intérieur afin de vérifier qu'une femme y serait en sécurité.