Aimer Dieu, c'est s'abandonner tout entier à sa volonté. Lui disposer son cœur pour qu'il le façonne à son image. Lui donner son âme pour qu'Il puisse la prendre avec lui pour l'éternité. Lui soumettre son esprit, sa raison, pour que son Esprit devienne le critère de toutes nos décisions.
Jésus énonce de manière explicite, qu'aimer Dieu fait aussi appel à notre intelligence, à notre perspicacité. Notre intelligence, notre raison sont des dons de Dieu et nous devons les mettre en œuvre pour croire comme pour aimer. Le chrétien est appelé à prier à méditer et à s'instruire, à réfléchir, à discerner.
L'amour de Dieu est infini et il demeurera à jamais, mais ce que cela signifie pour chacun de nous dépend de la façon dont nous répondons à son amour. Jésus a dit : « Comme le Père m'a aimé, je vous ai aussi aimés. Demeurez dans mon amour.
Quand nous donnons la priorité à Dieu, toutes les autres choses prennent la place qui leur revient ou disparaissent de notre vie. Notre amour pour le Seigneur détermine la disponibilité de nos affections, celle de notre temps, les choses qui nous intéressent et l'ordre de nos priorités.
Servir, c'est aider des personnes qui ont besoin d'assistance. Le service chrétien découle de l'amour sincère pour le Sauveur et de l'amour et de la sollicitude pour les personnes qu'il nous donne l'occasion d'aider et pour qui il nous incite à le faire.
Si un homme est fidèle et fait honneur à Dieu et à la religion qu'il a embrassée, toutes les épreuves qu'il traverse, une fois qu'elles sont terminées, lui permettent de se rapprocher de Dieu, en ce qui concerne l'accroissement de sa foi, de sa sagesse, de sa connaissance et de son pouvoir et, ainsi, il peut demander à ...
Dieu nous répond au moyen de sentiments, de pensées, de passages d'Écriture et même de discours à l'église !
Comme tout amour émane de Dieu, nous sommes nés avec la capacité et le désir d'aimer et d'être aimés. L'un des sentiments les plus profonds qui nous restent de notre vie prémortelle est la grandeur de l'amour de notre Père et de Jésus pour nous et celle de l'amour que nous leur portions.
« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. « C'est le premier et le plus grand commandement. « Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Matthieu 22:37-39).
Pour obtenir un amour chrétien, nous devons le rechercher, prier pour le recevoir et suivre l'exemple du Sauveur dans nos pensées, nos paroles et nos actes.
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
D'après les Grecs, l'amour est le sentiment responsable d'un grand nombre d'actions humaines, décisions et états d'esprit. Par conséquent, ils ont proposé quatre types ou classifications d'amour pour expliquer ce sentiment très complexe que l'on éprouve lorsqu'on aime. Il s'agit de: Eros, Storgé, Philia et Ágapé.
Si la communication, la passion, la confiance et les projets à deux sont les quatre piliers fondamentaux d'un couple, d'autres comme la créativité jouent aussi un rôle majeur dans la stabilité d'une vie à deux.
Sans la foi, nul ne peut plaire à Dieu. Or, personne ne peut plaire à Dieu sans la foi. En effet, celui qui s'approche de Dieu doit croire que Dieu existe et qu'il récompense ceux qui le cherchent (Hébreux 11:6). Matthieu 21 : 22 dit aussi “Tout ce que vous demanderez avec foi par la prière, vous le recevrez”.
Faites preuve de foi et dites: Que ta volonté se fasse. Ces expériences, si vous y faites face honorablement, vous préparent pour de plus grandes bénédictions. Dieu, qui est votre Père, a pour but votre bonheur éternel, votre développement continuel, l'accroissement de vos capacités.
Prendre une décision avec le Seigneur passe souvent par une médiation, c'est une longue tradition de l'Église : en parlant avec quelqu'un, on parvient souvent à mieux comprendre comment Dieu nous parle. D'où l'importance, surtout pour les décisions plus graves, d'être accompagné.
La faiblesse de Dieu est une audace inouïe, ce n'est pas un triomphe divin qui aurait bouleversé le cours du monde entier en écrabouillant les ennemis de Dieu [12] . Ce que Caputo souligne ici, c'est la dimension mythologique du propos paulinien.
Dieu le Père
Le Nouveau Testament, en grec, emploie le mot Θεος (Théos) pour désigner Dieu, parallèlement au mot Κυριος (Kurios), traduit en français par « Seigneur ». Les deux vocables s'appliquent à Dieu le Père ainsi qu'à Jésus de Nazareth, dans les deux cas avec ou sans article (Ac 14.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
La fidélité de Dieu consiste pour Dieu à s'en remettre aux hommes et même à se livrer aux hommes. Nous avons évoqué avec Bonhoeffer l'idée d'une faiblesse de Dieu qui est inhérente à sa présence dans l'histoire.
Aimer Dieu, c'est s'abandonner tout entier à sa volonté. Lui disposer son cœur pour qu'il le façonne à son image. Lui donner son âme pour qu'Il puisse la prendre avec lui pour l'éternité. Lui soumettre son esprit, sa raison, pour que son Esprit devienne le critère de toutes nos décisions.
A partir du moment où on est clair vis-à-vis de l'un et de l'autre, rester fidèle tient au respect et à l'honnêteté. Si l'un a des tentations de plus en plus fortes, il se doit d'en parler à l'autre et de rompre si besoin. Et si le mal est fait, là encore, l'honnêteté est reine.